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Vol de nuit, de Paris à La Paz (avec escale).
Nous débarquons dans la capitale la plus haute du monde : La Paz !
Notre chauffeur nous attend à l'aéroport pour nous amener à notre hôtel.
Nous avons aujourd’hui une demi-journée libre pour prendre un bain de foule, profiter du dépaysement et nous adapter à l'altitude !
Nous pouvons en profiter pour nous balader dans le centre historique, faire quelques courses dans la rue Sagárnaga connue pour ses nombreuses échoppes d’artisanat local, découvrir les objets nécessaire aux offrandes à la Pachamama (Mère Terre) dans le "marché aux sorcières", ou visiter l’un des nombreux musées de la ville…
Et pourquoi ne pas prendre de la hauteur et faire un tour dans l’une des sept lignes de téléphérique ?
Repas : déjeuner et dîner du J2 inclus.
Nous descendons de nos hauteurs vers la région pré-tropicale des Yungas, les "balcons de l'Amazonie". On y retrouve la chaleur, une végétation verte et luxuriante.
Nous partons de La Paz et montons jusqu’à près de 4 600 mètres d’altitude, à la Cumbre. C'est ici que commence la descente en VTT (accessible à tous). De là, nous quittons l’Altiplano, pour pénétrer dans le bassin amazonien. À partir de maintenant, nous allons perdre 100 mètres d’altitude et gagner 1,6 degrés toutes les 10 minutes. Nous quittons les lamas, la neige, la roche, pour atteindre Yolossa, l’eau, les mangues, le café, les perroquets, les singes, à 1 200 mètres d’altitude. Le vert remplace le gris, c’est une explosion de couleurs, d’odeurs, d’oxygène.
Cette route est la seule qui lie la capitale andine aux producteurs d’Amazonie, en cas de conflit social, la bloquer avec quelques camions signifie arrêter le transport de marchandises (viandes, agrumes, coca, café) à la capitale. Le contrôle de cette voie est primordial.
Nuit à l'hôtel à Coroico.
Repas : déjeuner et dîner inclus.
Ce matin, nous partons en direction du « Cafetal » de San Felix, à 4,5 km de Coroico, sur la route des Cascades. En arrivant, nous sommes accueillis par Mauro qui nous emmène faire le tour de la propriété. Il s’agit d’un centre familial de plantation et de conditionnement de café, où nous allons découvrir toutes les étapes de la production du café, depuis la récolte manuelle des grains et leur sélection minutieuse jusqu’à la tasse que l’on vous sert. Nous nous enivrons de la riche odeur des grains toastés et savourons leurs arômes...
La région des Yungas est d’ailleurs reconnue pour son café de qualité et la production y reste familiale sur de petites surfaces. Elle subit cependant la concurrence de la culture de coca, historiquement importante dans la région et qui au fil des années s’est développée de manière considérable.
Après cette visite, que diriez-vous d’une courte balade et pourquoi pas, pour les plus téméraires, une baignade dans les cascades? De retour au cafétal, un repas nous attend en terrasse. Durée de la visite : 3/4 heures.
Après le déjeuner, nous nous enfonçons dans les Yungas, ce territoire entre Andes et Amazonie devenu la principale région de production de la feuille de coca. Les Incas déjà organisaient la production de cette plante sacrée dans cette région, mais aujourd'hui la consommation est bien plus massive et les champs de coca apparaissent à chaque instant tandis que nous avançons.
Nous longeons le Rio Coroico, bientôt rejoint par le Rio Zongo, pour arriver à Tomachi, petite communauté de l'ethnie Leco, l'un des 33 peuples officiels de l'Amazonie bolivienne. Les indigènes de Tomachi ont parié sur le tourisme (bien faible aujourd'hui) plutôt que sur l'exploitation légale ou illégale de l'or, qui empoisonne les rivières de toute la région.
Tomachi est un véritable havre de nature protégée dans cet environnement certes magnifique et verdoyant, et pourtant sous une pression intense. Nous pouvons nous promener sur les sentiers de la forêt et nous baigner dans l'une des nombreuses piscines naturelles de ce magnifique coin de nature.
Repas : déjeuner et dîner inclus.
Les chants d'oiseaux nous réveillent tôt, pour profiter des cascades et piscines naturelles qui se trouvent non loin du camp. Il n'est pas rare de voir une martre d'Amazonie se balader près de la cuisine...
Le Rio Kaka est riche en or, mais avant de devenir sa malédiction cette richesse constituait l'une des activités des Leco. Les indigènes savent encore récupérer des paillettes d'or dans l'eau du fleuve à l'aide d'une simple batée, sorte d'assiette en bois, sans mercure ni autre produit toxique. Les Leco prétendent même que la rançon en or payée par l'Inca Atahualpa au conquistador Pizarro venait de chez eux...
Nous embarquons sur une pirogue avec nos amis indigènes pour trois jours de traversée de forêt en suivant le cours du rio Kaka qui serpente entre les dernières serranías (petites chaînes de montagne de quelques centaines de mètres de hauteur), dernières traces de la Cordillère des Andes.
Nous dormons sur les bords du fleuve, en montant nos campements, parfois à proximité de ceux des gardes forestiers du Parc National Madidi. Nous sommes au contact permanent de la nature sauvage, aux portes du territoire qui détient le record mondial de concentration en biodiversité.
Repas : déjeuner et dîner inclus.
Le fleuve est maintenant rejoint par les eaux du Río La Paz, qui ont contourné tout le massif de l'Illmani avant de plonger à leur tour dans le bassin amazonien. Sur la rive droite, c'est la Réserve Biosphérique Pilón Lajas, alors que sur la rive gauche s'étend le Parc National Madidi. Nous sommes bien au cœur d'une nature parfaitement préservée. Un joyau de notre planète.
Avant la fièvre de l'or est venue celle du caoutchouc, apportant son lot de douleurs et de destruction dans toute l'Amazonie. Les Leco savaient déjà utiliser le caoutchouc avant que Ford et Dunlop ne décident d'y investir des fortunes. Ils fabriquaient des sortes de sacs flottants en gomme d’hévéa, qu'ils utilisent encore parfois comme bouées, pratique pour transporter ses affaires! On essaye?
Nous montons un nouveau campement, au cœur de la forêt, au milieu de la flore amazonienne exubérante et de sa faune omniprésente: attention aux singes chapardeurs, n'oublions pas de vérifier si un serpent ne traîne pas devant la tente... peut-être même que nous entendrons rugir le jaguar ce soir. Buenas noches !
Repas : déjeuner et dîner inclus.
Nous poursuivons notre navigation sur le fleuve, parfois on aperçoit sur les rives un caïman qui surveille une famille de capybaras du coup de l’œil. Nous continuons notre découverte de l'extraordinaire Parc National Madidi. On ne peut être qu'émerveillé devant cette forêt tropicale d'une richesse extraordinaire, que nous découvrons avec les yeux de nos guides indigènes. De mystérieux signes gravés dans la roche révèlent l'occupation très ancienne de ces lieux.
La rivière est le véritable foyer du peuple Leco qui a toujours navigué sur ses eaux. Le cours d'eau varie et parfois on doit descendre pour pousser l'embarcation. Mais le plus extraordinaire est de découvrir la forêt et le fleuve à travers les yeux de ce peuple si attachant.
Après avoir passé l’impressionnant canyon del Bala, nous arrivons à Rurrenabaque, principale bourgade de la région. Nous arrimons notre pirogue au milieu des barques des pêcheurs, et partons à la découverte de cette petite ville plutôt animée, entourée de collines verdoyantes qui disparaissent dans la brume au coucher du soleil.
Repas : déjeuner et dîner inclus.
Nous quittons "Rurre" et nous enfonçons dans la forêt, en empruntant la route qui a récemment été ouverte pour relier le territoire indigène à la ville. Notre guide originaire de San José nous explique le mode de vie et la culture bien vivante des Uchupiamonas, nous commençons à comprendre la passionnante relation qui unit les hommes originaires de ces terres avec la nature qui les entoure. Il n'est pas rare de voir un paresseux ou un toucan dans les arbres sur les bords de la route, gardons l’œil ouvert!
Nous atteignons San José de Uchupiamonas, capitale des indigènes Uchupiamonas, l'un des 33 peuples indigènes des basses terres de Bolivie. Cette bourgade, fondée en 1616 par des prêtres franciscains, compte quelques centaines d'habitants et vit de façon traditionnelle. Dans ses rues ocres résonne la douce mélodie de la langue quechua-tacana, lointain héritage du temps des Incas. Les habitants vivent de l'agriculture, de la chasse et de la pêche, une économie de subsistance. Ici peu de lumières le soir car l'électricité est arrivée récemment. Ce soir nous allons échanger nos récits d'aventures avec les Uchupiamonas qui nous feront découvrir leurs traditions de musiques et de danses.
Nous passons la nuit chez l'habitant à San José.
Repas : déjeuner et dîner inclus.
Nous partageons aujourd'hui la vie des indigènes Uchupiamonas. Nous les accompagnons dans les champs de manioc, marchons sous les bananiers, récoltons quelques noix de coco pour nous rafraîchir. Nous découvrons ainsi le mode de vie des indigènes, leur organisation et les difficultés auxquelles ils sont confrontés.
Pourquoi ne pas faire une partie de pêche afin de profiter des bons côtés de la cuisine en pleine nature? Les poissons abondent dans les rivières d'Amazonie et leur taille peut surprendre! Nous pouvons le préparer à la manière Uchupiamona en papillote (dunucuabi) enveloppé dans des feuilles d'heliconia ou alors cuit à l'étouffée dans une branche de tacuara ou bambou.
Après le déjeuner nous reprenons la route vers l'embouchure de la rivière Yariapo. Nous allons préparer le campement et retrouver nos compagnons pour l'incroyable aventure qui nous attend. Machettes, sacs, cordes, toiles et moustiquaires, l'inventaire du matériel pour l'expédition est important. Nous repassons la logistique et les règles de sécurité afin que tout soit prêt pour l'expédition qui commencera à la pointe du jour...
Repas : déjeuner et dîner inclus.
Au lever du jour l'excitation est palpable. On observe le ciel, les porteurs terminent leurs préparatifs, après le petit déjeuner on lève le camp pour commencer véritablement notre aventure. Aujourd’hui nous partons pour 4 jours de trek en pleine forêt pour apprendre à survivre en Amazonie, en apprenant de cet environnement, en explorant la biodiversité de la jungle.
Nous partons en autonomie avec notre guide qui a grandi dans la forêt et la connaît parfaitement, véritable expert de la région et de la survie en nature sauvage. Il va nous apprendre à déchiffrer les innombrables signes qui permettent de s'orienter et de survivre en forêt: sons, traces d'animaux, couleur de l'eau...
Nous pénétrons dans le cœur du parc Madidi, l'un des endroits qui concentre la plus grande biodiversité de la planète où nous allons vivre une expérience extraordinaire. Nous suivons un sentier à peine visible, connu des Uchupiamonas qui l'empruntent parfois pour des parties de chasse. Il faut souvent ouvrir la route à coups de machette, d'autres sections sont plus faciles à suivre. La végétation est dense, la forêt bruisse à chaque instant. Quels animaux nous attendent cachés derrière ces arbres?
Le soir venu nous trouvons un lieu propice pour monter le campement, nous vivons comme les peuples nomades d'Amazonie, totalement immergés dans les mystères de la forêt primaire.
Repas : déjeuner et dîner inclus.
Nous poursuivons notre exploration de la jungle, en nous aventurant de plus en plus profondément. Nous observons des arbres géants, nous aurons peut-être la chance de voir des singes-araignées, des singes-hurleurs. Nous apprenons les secrets des plantes médicinales, à reconnaître les lianes qui ont de l'eau à boire.
Nous allons suivre aujourd'hui les méandres du fleuve Yariapo. Le fleuve bien sûr est un endroit propice à l'observation d'animaux, c'est un élément central dans la vie quotidienne et dans la vie spirituelle des indigènes. Avec un peu de chance il nous offrira l'opportunité d'observer des grands mammifères qui s'y rendent chaque jour.
Chaque jour nous vivons le rituel de chercher des branches sèches, de préparer le feu, d'admirer le ciel étoilé, d'écouter la forêt vivante.
Repas : déjeuner et dîner inclus.
Pas de "grasse mat'" en compagnie des singes hurleurs !...
Après le petit-déjeuner nous continuons notre expédition à travers la forêt vierge où chaque pas peut réveler une surprise: un insecte déguisé en feuille, un groupe de perroquets dans le ciel, des plantes qui rivalisent d'ingéniosité pour atteindre la lumière...
Aujourd'hui nous allons apprendre à reconnaître les palmiers qui sont comestibles, les différents types de champignons, ainsi que la façon de se repérer dans la jungle. Notre guide du groupe des Uchupiamonas nous révèle la façon dont les indigènes trouvent toutes les ressources dont ils ont besoin dans la forêt.
Nous parcourons différents écosystèmes, avec chacun leur population... Et avec un peu de chance, lde nouvelles opportunités de croiser singes, cerfs, tapirs ou autres tatous géants...
Repas : déjeuner et dîner inclus.
Désormais nous nous sentons pratiquement comme des habitants de la forêt, nous pouvons y reconnaître des signes et nous repérer davantage. Nous approchons du fleuve Tuichi, l'une des grandes artères fluviales de la région, et recherchons les salpêtrières qui sont les meilleurs endroits pour observer les grands mammifères.
Finalement le paysage se dégage, et l'horizon apparaît sous la forme d'une immense lagune, Santa Rosa, un majestueux plan d'eau qui bien sûr attire des milliers d'oiseaux et autres animaux.
Dans l'après-midi nous nous installons dans une pirogue qui tout doucement, sans un bruit, se laisse glisser le long des rives de la lagune. C'est l'un des meilleurs endroits pour observer les oiseaux et en particulier le Serere, étrange oiseau tout droit sorti de la Préhistoire.
Comme il ne faut jamais laisser passer une opportunité dans la forêt, nous en profitons pour pêcher quelques piranhas que nous faisons cuire dans la soirée. Ce soir, nous retrouvons notre feu sous les étoiles, dans la forêt qui bruisse de tous les animaux de la nuit. Nuit en hamac !
Repas : déjeuner et dîner inclus.
Comme des félins nous nous glissons dans l'obscurité de l'aube pour une promenade à la recherche de singes-araignées, de singes hurleurs, de singes capucins. Nous connaissons désormais les différents sons de la jungle qui s'éveille.
Nous retournons ensuite au camp pour faire un feu et préparer notre petit déjeuner, après quoi nous repartons en bateau pour descendre le fleuve jusqu'à notre ecolodge.
Depuis l'écolodge de Madidi Jungle, après s'être installé, avoir déjeuné et peut-être piqué du nez dans un hamac en profitant de la fraîcheur de la jungle et des sons environnants, c'est rechargé d'énergie que nous partons à la découverte de la forêt.
Nous suivons les pas de notre guide en empruntant le sentier Wabu, jusqu'à déboucher sur un endroit localement appelé "Cullpana". Il s'agit d'une zone stratégique dans la forêt, où de nombreuses espèces se rassemblent pour se nourrir de substrat dans lequel elles font le plein de sels minéraux. Certains animaux se roulent dans les mares de boue tandis que d'autres viennent picorer les murs d'argile.
On pourra peut-être observer le pécari à lèvres blanches, le singe hurleur rouge, le toucan ou encore d'autres espèces, d'ordinaire plus discrètes.
Nous retournons à l'ecolodge et en soirée, après le dîner, nous pouvons nous aventurer encore une fois sur les sentiers pour profiter de la vie nocturne agitée de la jungle.
Repas : déjeuner et dîner inclus.
Pour notre dernier réveil dans la jungle les singes-hurleurs nous donneront un concert à l'aube accompagnés de différentes espèces d'oiseaux.
Nous allons chercher des plantes médicinales sur un sentier qui en regorge, et nous pouvons ainsi ramener quelques plantes dans notre sac. Nous y mettons également un peu de sagesse indigène, après cette expérience de vie en harmonie avec la nature.
Nous marchons jusqu'à la rivière où se trouve le bateau qui va nous ramener à Rurrenabaque. Pendant le trajet nous avons de nouveau de belles opportunités de voir des perroquets, des caïmans ou une autre surprise que nous réserve la forêt.
Repas : déjeuner et dîner inclus.
Notre chauffeur nous emmène à l'aéroport de Rurrenabaque pour notre court vol vers la capitale La Paz.
Accueil et transfert à notre hôtel dans le centre historique.
Nous profitons aujourd’hui d’une journée libre à La Paz, pour nous promener dans les ruelles pittoresques, faire quelques courses dans la rue Sagárnaga connue pour ses nombreuses échoppes d’artisanat local, découvrir les objets nécessaire aux offrandes à la Pachamama (Mère Terre) dans le "marché aux sorcières", ou visiter l’un des nombreux musées de la ville…
Repas : déjeuner et dîner inclus.
Après le petit-déjeuner, et selon nos horaires de vol, notre chauffeur nous amène à l'aéroport LPB pour notre vol retour (avec escale).
Arrivée le J18.
N.B. :
Votre guide peut être amené à modifier l'itinéraire en raison de contraintes d'organisation (transport et hébergement notamment), des conditions météorologiques, du niveau des participants, ou de toute autre cause relative à la sécurité du groupe.
Activités optionnelles
Les tarifs indiqués sont valables pour des départs de Paris. Un supplément de 99 € est demandé pour des départs de Bordeaux, Lyon, Marseille, Montpellier, Nantes, Nice ou Toulouse. Ces tarifs sont indiqués pour certaines classes de réservation sur les compagnies aériennes qui desservent cette destination. Ils sont donc susceptibles d'être modifiés en cas d'indisponibilité de places dans ces classes au moment de la réservation.
Prix du voyage sans transfert aérien : à partir de 5357€
Vous souhaitez ajouter ou privatiser une date de départ afin de la réserver à vos proches, vos amis, votre association, votre CE : décrivez-nous votre projet !
Voyage "facile" en ce qui concerne les efforts physiques, avec quelques randonnées (sans dénivelés) d'environ 4 heures (trek immersif dans le parc Madidi) et de nombreuses balades, toutes agrémentées d'observation de la faune et de la flore, de rencontres et de visites.
La "difficulté" du voyage réside dans les conditions de cette expédition, en pleine jungle, dans des lieux sans infrastructures touristiques, pas toujours faciles d'accès : chaleur, humidité, sols humides... Les conditions d'hébergements sont régulièrement sommaires, même si confortables étant donné les lieux visités.
Quoiqu'il en soit ce voyage se veut accessible à toute personne en bonne condition physique. Quelques week-ends de mise en jambes sont toujours bienvenus.
Ce voyage créé pour le plus grand plaisir des baroudeurs-ses a été travaillé (logistique, hébergement, repas) pour accueillir le plus grand nombre de curieux-se à découvrir des régions pratiquement vierges de tourisme.
De 4 à 12 personnes (exceptionnellement 13 si les derniers s'inscrivent à 2).
Nous limitons nos groupes pour mieux se fondre dans l'ambiance locale et dans la nature.
Les repas sont tous inclus, l'eau sera fournie sur tout le voyage. Les autres boissons seront payantes.
En ce qui concerne les douches et WC, ils seront privatifs (par chambre), pour les jours à l'hôtel.
Pour le reste, c'est dans la forêt et la rivière que cela se passe !
Vous serez accompagnés par des guides locaux indigènes et par le journaliste activiste en droits des humains et de l'Amazonie : Jean-Claude Vignoli.
Jean-Claude Vignoli est écrivain et journaliste en droits des humains et de l'Amazonie.
Après avoir vécu et écrit en Afrique, il a parcouru l'Amérique Latine durant 5 ans, résidant chez plusieurs peuples autochtones, comme les Bri-bris au Costa Rica, les Kogis en Colombie, les Qeros au Pérou, les Uchupiamonas en Bolivie, et les Guaranis au Paraguay.
Passionné d'archéologie et d'arts antiques, Jean-Claude est le fondateur des "Gardiens de l'Amazonie" (2024-), une ONG qui se consacre à la protection de la forêt sud-américaine et de ses peuples natifs.
Il y promeut un tourisme responsable, visant à offrir des alternatives aux anciens guérilleros et narcotrafiquants.
Journaliste freelance depuis 2020, donnant la parole aux communautés marginalisées, notamment les peuples autochtones, il est également consultant international en droits humains et aide les activistes à poursuivre leurs objectifs pour un impact maximum.
En bus et en pirogue, à pied et en avion.
Vos bagages voyageront avec le bateau, installés à l'abri ou sous une bâche. Nous vous recommandons d’emporter un sac souple (plutôt qu’une valise) ainsi qu’un second sac, plus petit, dans lequel vous glisserez vos affaires pour la journée.
Les conditions climatiques peuvent varier au fil du voyage, parfois dans le même journée. Il est donc indispensable d'avoir un équipement adéquat, en toutes circonstances : lunettes de soleil, kway…
Aussi, évitez de laisser vos affaires sans surveillance, notamment dans les gares de transports ou lors des escales.
Vous volerez sur des compagnies régulières : LaTam, Air France / KLM, Iberia
Nous sélectionnons systématiquement des compagnies agréées par la direction générale de l’Aviation civile ou répondant aux normes et agréments internationaux. Sont totalement exclues les compagnies aériennes figurant sur les listes noires de l’Aviation civile.
Veillez à nous communiquer impérativement dès l’inscription les noms et prénoms figurant sur votre passeport, ainsi que votre date de naissance (et non pas votre prénom d’usage ou nom d’épouse si votre passeport ne les mentionnent pas). En cas d’erreur, vous ne pourriez pas embarquer et des frais pourraient être appliqués par la compagnie.
Avant votre départ, nous vous recommandons de vous enregistrer en ligne sur le site de la compagnie aérienne, lorsque ce service est disponible, pour faire face à la grande fréquentation des aéroports. Cela minimisera votre temps d’attente, puisqu’une fois arrivé à l’aéroport, vous n’aurez qu’à rejoindre une borne pour imprimer votre carte d’embarquement, ou vous rendre directement au dépôt des bagages si vous l’avez déjà imprimée.
Vous pourrez ainsi souscrire directement aux services proposés par la compagnie, notamment celui de choisir votre emplacement dans l’avion.
Pour vous enregistrer, rendez-vous sur le site web de la compagnie aérienne, muni de votre « E-ticket », sur lequel figure votre numéro de réservation, nécessaire pour l’enregistrement. Vous pouvez prendre contact avec votre conseiller pour de plus amples informations.
La réussite de tout voyage est un délicat mélange de bonne humeur, de sentiments d'entraide et de convivialité, mêlé à un esprit de curiosité et le respect des traditions locales.
Prix du voyage sans transfert aérien : à partir de 5357€
Afin de tenir compte des contraintes imposées par nos prestataires pour votre voyage, et conformément à nos conditions de vente, en cas d’annulation de votre part avant le commencement du voyage, nous vous appliquerons des frais d’annulation basés sur nos frais réels justifiés à la date de votre annulation.
Emportez environ 200 € ou dollars, ainsi que votre CB, pour les repas non inclus (jours de transport aérien), petites dépenses personnelles et autres souvenirs artisanaux...
Le versement d’un pourboire ou d’une gratification reste soumis à votre libre appréciation. Sachez néanmoins que ces gratifications sont très appréciées des équipes locales, qui y voient un signe de remerciement pour un travail bien accompli. Aussi, nous vous recommandons un montant autour de 4 à 5 USD par jour et par participant pour votre guide principal, la moitié pour un chauffeur ou un cuisinier.
. Lunettes de soleil
. Gourde isotherme et filtrante (1 L min.)
. Lampe de poche et/ou lampe frontale (étanche)
. Crème solaire haute protection
. Briquet pour brûler vos détritus (à mettre dans le bagage en soute)
. Couteau pliant (à mettre dans le bagage en soute)
. Nécessaire de toilette (produits biodégradables de préférence)
. Papier de toilette (biodégradable si possible)
. Serviette de toilette à séchage rapide
. Protections auditives anti-bruit
. Chapeau ou casquette couvrante sur le cou
. Adaptateur de prise électrique
Vêtements légers en coton et qui sèchent vite : T-shirt, pull ou polaire légère pour le soir (et pour l'avion), pantalon de trekking (ou en toile résistante), jean ou jogging, short, cape de pluie, maillot de bain, chapeau ou casquette.
Chaussures : Pour les randonnées, prenez des chaussures qui sont déjà faites à vos pieds. Préférez des chaussures de randonnée légères mais imperméables (gore tex). Pensez à emporter une autre paire pour vous détendre en ville ou le soir.
Passeport valide au moins 6 mois après la date de retour.
Afin de parer à toute éventualité, on veillera à disposer d’un passeport comportant le nombre de pages vierges requis ou suffisant (généralement 3, dont 2 en vis-à-vis).
Passeport d’urgence. Ce document n’étant pas accepté partout, il faudra s’assurer, avant d’en faire la demande éventuelle, qu’il est reconnu par le pays concerné par le voyage ; on vérifiera également s’il implique une demande de visa (ce qui peut être le cas même pour des pays où on en est dispensé avec un passeport ordinaire).
Si vous voyagez avec vos enfants, sachez que, dorénavant, les mineurs, quel que soit leur âge, doivent eux aussi avoir un passeport individuel. La législation française stipule que les mineurs voyageant avec leurs deux parents, ou un seul des deux, n'ont pas besoin d'être en possession d'une autorisation de sortie du territoire. En revanche, ce document est obligatoire (depuis le 15 janvier 2017) si cette condition d'accompagnement n'est pas remplie. Dans ce dernier cas, l'enfant devra présenter : passeport (ou carte d'identité, selon les exigences du pays de destination) ; le formulaire d’autorisation de sortie du territoire, signé par l'un des parents titulaires de l'autorité parentale (le formulaire d’autorisation de sortie du territoire est accessible sur le site www.service-public.fr) ; une photocopie du titre d'identité du parent signataire.
Lorsqu’un mineur voyage avec l’un de ses parents dont il ne porte pas le nom, il est fortement conseillé soit de pouvoir prouver la filiation (https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F15392), soit de présenter une autorisation de sortie du territoire (formulaire Cerfa n° 15646*01) dûment remplie et signée par l’autre parent avec copie de sa pièce d’identité. Cette autorisation ne dispense pas de l’accomplissement de toute autre formalité spécifique à la destination concernant les mineurs.
Permis de conduire : pour éviter tout désagrément, il peut-être utile, même pour les pays extra-européens reconnaissant officiellement sur leur territoire la validité du permis français, de se procurer également un permis de conduire international ou, à défaut, une traduction assermentée du permis français.
Si votre voyage implique que vous transitiez par les Etats-Unis :
DOCUMENTS. Pour entrer sans visa, tout voyageur français, belge ou suisse (cela concerne aussi les enfants quel que soit leur âge) se rendant, par air ou par mer, aux Etats-Unis (ou y transitant) pour un voyage touristique ne dépassant pas 90 jours, doit être en possession d´un passeport individuel portant sur la couverture le symbole « puce électronique ». A partir du 15 janvier 2017, l'autorisation de sortie du territoire est rétablie pour les mineurs français voyageant sans au moins l'un de leurs parents.
ESTA. Tous les voyageurs français, belges ou suisses se rendant, par air ou par mer, aux Etats-Unis (ou y transitant) pour un voyage touristique, devront être en possession, avant d’embarquer, d´une autorisation électronique d´ESTA (Système électronique d´autorisation de voyage). Le formulaire ESTA devra être imprimé, avec la mention « autorisation accordée » et présenté à l’enregistrement. Ce document, simple autorisation d’embarquement, n´est pas une garantie d´admission sur le territoire des USA. Une fois accordée, cette autorisation est valable pour une ou plusieurs entrées et ce pendant deux ans (ou jusqu’à expiration de la validité du passeport du demandeur).
Les formulaires en ligne sont accessibles sur le site : https://esta.cbp.dhs.gov/ (la demande doit être faite au plus tard 72 heures avant le départ). L’autorisation d’ESTA est payante : 21 dollars US (tarif mai 2022), à régler par carte bancaire au moment de la demande.
RESTRICTIONS A L'EXEMPTION DE VISA. Il est à noter que les voyageurs ayant effectué un séjour en Iran (mais aussi en Irak, en Syrie, en Libye, en Somalie, au Yémen, au Soudan ou en Corée du Nord) depuis le 1er mars 2011, ou à Cuba depuis le 12 janvier 2021, devront, s'ils souhaitent se rendre aux Etats-Unis ou y transiter, faire en personne une demande de visa auprès du consulat américain, et ce même s'ils sont citoyens d'un pays relevant du Programme d'exemption de visa. Cette mesure s'applique également aux binationaux dont l'une des nationalités est iranienne, irakienne, syrienne, libyenne, somalienne, yéménite, soudanaise, nord-coréenne ou cubaine.
APPAREILS ELECTRONIQUES. De nouvelles mesures de sécurité sont entrées en vigueur dans les aéroports : les appareils électroniques (smartphones, tablettes, portables…) doivent être chargés et en état de fonctionnement pour tous les vols allant ou passant par les Etats-Unis et Londres. Les agents de contrôle doivent pouvoir les allumer. Par précaution, ayez votre chargeur à portée de main. Si votre appareil est déchargé ou défectueux, il sera confisqué. Cette mesure étant susceptible d’être étendue à d’autres aéroports, nous vous conseillons de charger vos appareils électroniques avant le vol quelle que soit votre destination.
Pas de visa pour les ressortissants français (moins de 90 jours sur place). Pour les autres nationalités, nous sommes à votre disposition pour vous accompagner dans vos démarches.
Attention ! Tous les voyageurs doivent impérativement remplir, à l'entrée et à la sortie, par air ou voie terrestre, le formulaire de douane 250, disponible sur le site http://anbsw01.aduana.gob.bo:7401/viajero/Publico250.jsp
Même si la vaccination contre la fièvre jaune n'est pas (encore) obligatoire pour les voyageurs arrivant directement d'Europe ou des Etats-Unis, la multiplication des foyers de la maladie dans de nombreuses régions du pays et des pays voisins, et pas seulement dans les régions amazoniennes, justifie, dès maintenant, de la recommander à tous, hors rares contre-indications décidées par le Centre de vaccinations internationales.
Sa validité est maintenant prolongée « à vie » (mention qui doit être notée sur le carnet international, quelle qu'ait été la date de la vaccination). Elle peut, en outre, être exigée à la sortie du pays, pour les voyageurs prolongeant leur périple dans les autres pays d'Amérique du Sud, d'Amérique centrale et de toute la zone Caraïbe.
Comme toujours et partout, il est important d'être immunisé contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche et la poliomyélite, les hépatites A et B et, selon les conditions de voyage la typhoïde et la rage.
Il est présent toute l'année mais seulement dans l'Amazonie bolivienne. Le voyageur devra adopter des mesures de protection, d'abord individuelles, qui le protégeront aussi contre d'autres insectes, vecteurs d'autres maladies (fièvre jaune, dengue, virus Zika) : répulsifs cutanés et vestimentaires actifs, port de vêtements couvrants, moustiquaires imprégnées. La prévention médicamenteuse est recommandée : elle sera assurée par la prise d'Atovaquone-Proguanil (Malarone ou un de ses génériques) ou de Doxycycline (compte tenu du risque d'effets indésirables, la prescription de méfloquine (Lariam) ne sera proposée aux voyageurs qu'en cas de bonne tolérance lors de voyages antérieurs ou de contre-indication aux autres médicaments actifs) ; elle n'est pas nécessaire dans le reste de la Bolivie, ni à La Paz, ni sur les hauts plateaux andins (il faut cependant signaler les récents cas de paludisme dans un village andin situé à 2300 mètres).
Dans certaines communautés éloignées, souvenez-vous que la langue maternelle des autochtones n'est évidemment pas l'espagnol... Merci donc de votre patience et votre compréhension à l'égard de vos guides locaux qui vous accompagneront sur quelques étapes (en plus de votre accompagnateur francophone).
Vous pouvez emporter des éléments traditionnels de votre région ou de votre culture pour les partager avec vos hôtes. Mais il est inutile d’emporter des cadeaux, notamment pour les enfants rencontrés au fil du séjour. Ces pratiques ont tendance a développer la mendicité et dénaturer les relations entre les locaux et les étrangers. Il reste possible de faire des dons de jouets, de vêtements ou de médicaments auprès d’associations, de dispensaires ou même d’écoles, des lors que la démarche est structurée et encadrée.
Attention à ne pas les appeler "Indio" qui est péjoratif pour les andins. Vous serez peut être étonnés par les inégalités qui règnent entre les ethnies et les peuples, selon qu'ils soient descendants des Espagnols, métis, « indigenos » ou descendants d'esclaves.
Le contact avec les "indigenos" peut parfois s'avérer délicat (surtout dans l'altiplano). Ceux-ci peuvent vous paraître indifférents, ce qui est tout à fait compréhensible. Vous devez donc prendre votre temps pour vous intégrer parmi la population et comprendre l'âme des natifs.
La Bolivie est réputée pour son environnement social instable. Il est fréquent que la population bolivienne exprime son mécontentement par des blocages de route ou de gares. Cela ne présente aucun danger pour le voyageur mais peut perturber certaines étapes de votre voyage. Si ces cas se présentent, votre accompagnateur adaptera votre itinéraires en fonction de ces contraintes.
En Amazonie le climat est tropical, chaud et humide.
En été, de novembre à mars, les précipitations sont nombreuses. Cette période est généralement déconseillée car les transports et les randonnées sont souvent impossible.
Nous ne proposons donc cette aventure en Amazonie bolivienne qu'entre mai et septembre.
En été = -6H / En hiver = -5H (Par rapport à la France )
Type A (USA - 2 fiches plates) ou C (France - 2 fiches rondes) - Voltage : 110/220V - Fréquence : 50Hz
"Enfance d'un chaman" d'Anne Sibran.
Depuis 2019, nous nous efforçons d’appliquer les exigences des recommandations de la norme internationale NF ISO 20611 sur les bonnes pratiques en matière de durabilité dans le tourisme d’aventure. Ainsi, nous défendons et mettons en pratique, une vision du voyage durable et engagée, dans 5 domaines essentiels :
1/ Réduire notre empreinte carbone
Depuis 2018, 100% des émissions de CO2 de vos voyages sont absorbées. Et depuis 2020, les deux tiers de nos voyageurs en Europe continentale sont incités à partir en train plutôt qu’en avion ! En savoir plus…
2/ Améliorer la gestion des déchets
Sur nos voyages, bouteilles en plastique et couverts jetables sont bannis. Au sein de l'entreprise, tri des déchets, produits d'entretien écologiques, etc. En savoir plus…
3/ Protéger la faune
Depuis 2019, nous appliquons notre « Charte sur le respect de la vie animale » : ne pas perturber leur habitat, respecter une certaine distance, prendre soin des animaux de bât, etc. En savoir plus…
4/ Soutenir les populations locales
Nous appliquons depuis 2019 notre « Charte de l’accueil communautaire ». Nous soutenons financièrement des projets locaux de protection de l’enfance et d'aide au développement économique. En savoir plus…
5/ Favoriser l'accessibilité
Un tour opérateur d'aventure qui propose des voyages adaptés aux Personnes à Mobilité Réduite (hébergements, véhicules, étapes…) ? Mais oui, l'aventure ce n'est pas que le trek ! En savoir plus…
Et vous que pouvez-vous faire ?
Pour commencer, prendre connaissance et appliquer les 15 commandements du voyageur responsable avant, pendant et après le voyage.
Chacun de nous peut contribuer à être un voyageur responsable, attentif au monde et à ses habitants, en suivant quelques conseils avant, pendant et après le voyage.
- Avant le voyage
1- Choisissez des professionnels engagés dans le tourisme responsable
2- Vous informer, apprendre quelques mots dans la langue du pays…
3- N’emportez que l’essentiel et ramenez des souvenirs fabriqués localement
4- Gardez l’esprit critique
- Pendant le voyage
5- Adoptez les us et coutumes locaux
6- Avant de photographier une personne, prenez le temps de lui demander
7- Comme chez vous, triez les déchets et économisez les ressources
8- Préservez les sites visités
9- Préférez le don aux associations plutôt que la mendicité
10- Dénoncez l’exploitation sexuelle des enfants
- Après le voyage
11- Honorez vos engagements
12- Signalez les situations graves et intolérables remarquées
13- Compensez les émissions liées à votre voyage
14- Soutenez des initiatives locales
15- Partagez votre expérience
Randonnées (ou autres activités sportives) de 4h à 5h par jour en moyenne, avec dénivelés (si rando) de 300 à 500 m, sur terrain accessible et peu accidenté. Bonne condition physique requise.