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Conseil du pro !
Ne manquez pas l’éperon rocheux « Out of Africa », fabuleux point de vue sur les eaux du lac Nakuru...
Départ en fin d’après midi sur un vol international à destination de Nairobi au Kenya (vol direct possible sur Air France). Arrivée sur Nairobi et transfert à votre hôtel
Petit-déjeuner. Ce matin, livraison de votre véhicule 4x4 équipé pour le camping, et ravitaillement en vivres et en eau dans l'un des nombreux shops et supermarkets des environs. Autre denrée importante à prévoir : du bois ! Que ce soit dans les parcs ou réserves, il est strictement interdit de ramasser brindilles et branches pour allumer son feu de camp, certaines espèces pouvant être toxiques. Cap au cœur de superbes paysages vallonnés vers le Parc National d’Amboseli. Vous emprunterez l’A109 (en direction de Mombasa), récente, entretenue et goudronnée. Après 120km, arrivée dans la petite bourgade d’Emali. Si vous avez besoin de remplir le réservoir d’essence, c’est le moment ! De là, vous bifurquerez plein sud sur la C102, route secondaire goudronnée, que vous suivrez sur 60km environ. Un panneau annonce « Amboseli National Park Oltukai E397 » sur la droite : cette piste de terre rouge rejoint la porte nord-est du parc, Iremito Gate, au bout d’une vingtaine de kilomètres. Formalités d’entrées dans le parc (taxe et campsite à régler sur place via la Safari Card). En piste pour 392km² de terres protégées, le parc est l’un des plus anciens parcs du Kenya. Territoire ancestral, la plaine d’Amboseli est devenue Réserve Nationale en 1948 puis Parc National. Sa situation au pied du Kilimandjaro en a fait rapidement l’un des sanctuaires les plus fréquentés du Kenya. Vous croiserez certainement quelques bergers massais accompagnés de leur bétail. Amboseli est le seul parc national du Kenya autorisant le pastoralisme en raison de la surabondance d’eau. Pour planter le décor de vos 2 nuits à venir : l’Amboseli KWS campsite, installé dans le secteur sud-est du parc. Les lieux sont clôturés et le strict minimum est prévu : toilettes, eau (pas toujours chaude !) et un petit bar.
Journée consacrée à l'exploration d'Amboseli, au gré des pistes balisées, très praticables. Attention : le hors piste est strictement interdit, et l’on ne sort pas de son véhicule.
Ne manquez pas les marais d'Enkongo Narok ou de Longinye, humides et alimentés en eau grâce à la fonte des neiges du Kilimandjaro. Ces marécages forment le territoire des grands troupeaux d'éléphants, buffles, et autres herbivores, que côtoient des centaines d’oiseaux. Pour les éléphants, privilégiez la Sinet Road, et pour les hippopotames, la boueuse « hippo pool » vous comblera ! Autre lieu incontournable : la zone forestière d’Ol Tukai Orok et ses palmiers, repère des lions. Une vraie oasis riche en zèbres, girafes, phacochères. Les hyènes ne sont jamais très loin, à l’affut des carcasses potentielles… Enfin, le mal nommé « Amboseli Lake » ravira les amateurs de tourbillons de poussière et paysages désertiques durant la saison sèche. Ici, troupeaux de gnous, autruches solitaires et chacals s’observent facilement. Autre incontournable : Observation Hill, d’où les vues sur le Kilimandjaro sont extraordinaires. Quand il se découvre, au crépuscule ou à l’aube, le toit de l’Afrique et ses 5895 m sont majestueux.
Ce matin, route vers la Vallée du Rift et le parc national du Lac Nakuru. Vous quitterez Amboseli par la Lake Road, diagonale poussiéreuse traversant la partie la plus sèche du parc. Formalités de sortie à Meshanani Gate, au nord-est. Vous aurez une cinquantaine de kilomètres à parcourir sur piste avant d’atteindre la ville frontière de Namanga, à la lisière de la Tanzanie. Profitez-en pour faire le plein d’essence et vous ravitailler pour la suite de vos aventures. Continuation plein nord pour Nairobi par l’A104. A partir d’Athi River, toujours sur l’A104, vous roulerez sur une vingtaine de kilomètres encore vers la capitale. Restez bien sur la voie de gauche et prenez la Lane 1 en direction de Lang’ata Road (C58) / Kikuyu (A104) pour vous engager sur le Southern Bypass, périphérique sud de Nairobi qui longe notamment Kibera, l’un des plus grands bidonvilles d’Afrique. Vous suivrez toujours l’A104 qui défile à travers des zones rurales de champs cultivés et plantations de thé. Peu de temps avant la ville de Nakuru, vous tournerez à gauche (juste après les shops « Aberdare Annex »), ferez encore 100m et prendrez à droite une piste de terre avec pour directions « Lake Nakuru Flamingo Lodge » et « Lanet Gate », porte nord-est du parc. Formalités d’entrée dans le parc : on vous donnera un pass et il faudra ensuite aller payer la taxe et le campsite (via la Safari Card) à la Main gate. Mais pour ce faire, passer par le parc est bien plus agréable que par la grouillante ville de Nakuru ! Situé au pied d'une falaise du Grand Rift et ceinturé de forêts d’acacias et d’euphorbes, le lac alcalin de Nakuru s’étend sur 188km², une petite surface offrant une découverte efficace ! Sanctuaire pour la protection et la réhabilitation des rhinocéros blancs et noirs, ce parc national abrite aussi buffles, girafes, antilopes, hippopotames, et il n’est pas rare d’observer lionnes et léopards perchés dans les arbres ! Des centaines d’espèces d’oiseaux y nichent également parmi lesquels pélicans, aigles pêcheurs, et flamants roses, visibles par milliers. Le réseau de pistes est bon, tout comme la signalétique. Pour la nuit, vous camperez au Makalia public campsite, au sud du parc, près de la superbe chute d’eau du même nom.
Départ matinal. Après cette ambiance lacustre, place à une atmosphère plus volcanique ! Vous poursuivrez votre exploration du Grand Rift par le Hell’s Gate National Park.
Environ 55km après Lanet Gate, par l’A104 en direction du sud, vous sortirez de la route par l’échangeur menant au lac Naivasha (après la station service Shell sur votre droite). Vous entrerez dans la bourgade de Naivasha, où le Tuskys supermarket (situé dans le Buffalo Mall) fournit tout ce qu’il faut au besoin. Continuation pendant 6km sur la Moi South Lake Road jusqu’au panneau indiquant, à droite, la bifurcation vers le Hell’s Gate National Park (en face du Rocky Resort). Après quelques kilomètres, si vous voulez vous ravitailler en produits locaux, ne manquez pas le petit « farm shop » accessible par une voie carrossable partant juste en face de la station-service Shell South Lake Naivasha (« Elmenteita Weavers Ltd / Farm shop »). Côté emplettes, que du frais : marmelades d'agrumes, chutneys de mangue, fruits et légumes,œufs, poisson, poulet, beurre, fromage… Plus loin, arrivée à Elsa Gate, fléchée sur la gauche. Formalités d’entrée dans le parc (taxe et campsite à régler sur place). Bienvenue dans l’un des plus surprenants parcs kényans ! Arides et bruts, les lieux offrent de sublimes paysages volcaniques, peuplés d’une grande faune paisible. A pieds ? A vélo ? Ou bien à bord de votre 4x4 ? Ici, on a le choix ! Véritable labyrinthe rocheux, les gorges d’Ol Njorowa forment l’un des sites les plus spectaculaires du parc, tant pour ses randonnées type canyoning (bonne condition physique exigée !), que pour les accidents qui s’y produisent parfois… Attention au danger des pluies subites dites « flash floods » qui inondent la gorge de plusieurs mètres en quelques minutes. Les 2 circuits Twiga et Buffalo pourront être parcourus à pieds pour les plus courageux ou à VTT (location possible à Elsa Gate). Autres curiosités : la Fisher’s Tower, pic basaltique haut de 25m, offre de belles possibilités d’ascension (il est toujours préférable de prendre les services d’un guide local). Envie de détente ? Le spa d’Ol Karia, géré par la centrale géothermique installée dans l’ouest du parc, propose un Blue Lagoon aux eaux directement chauffées par l’activité des entrailles la terre ! Pour la nuit à venir, au choix : le Naiburta public campsite, installé sur les reliefs dans le secteur nord, est accessible depuis la Gorge Road. Il offre un panorama superbe sur la Fisher’s Tower. Ou bien l’Ol Dubai public campsite, situé plus à l’Est sur une autre falaise. Les couchers de soleil sur les grès rouges y sont magnifiques.
Un conseil, commencez votre journée dès l’aube ! La route est longue vers le mythique Masai Mara, et les pistes sont parmi les plus cahoteuses du pays... Bref, un safari dans le Mara, ça se mérite ! Une fois passée Elsa Gate, vous reprendrez la Moi South Lake Road jusqu’à l’intersection et prendrez à droite (devant le Rocky resort) sur la C88, vers Mai Mahiu. Vous laisserez derrière vous les terres verdoyantes de la région des lacs et avancerez dans des paysages plus arides. 30km plus loin, juste après la station service National Oil de cette petite ville, vous tournerez à droite sur la B3, plein ouest vers Narok, dernière ville dans laquelle vous pourrez vous ravitailler en carburant, en bois, en eau et en vivres pour les 2 prochains jours. La meilleure option est l’Oltalet Mall et son Tuskys supermarket. Après le village d’Ololulung’a, vous suivrez à gauche, bien indiquée par un panneau, la direction de Ngorengore (C13) / Masai Mara Game Reserve. Là commence « l’african massage » ! On vous aura prévenu, le terrain est éprouvant… Il vous faudra encore rouler sur 75km sur une piste de gravier régulièrement défoncée, parfois creusée d’ornières boueuses plus ou moins profondes, et souvent poussiéreuse. Prudence ! Armez-vous de patience pour atteindre la porte nord-ouest du Mara Triangle, Oloololo Gate. Délimité par l’escarpement d’Oloololo à l’ouest, par la frontière tanzanienne au sud, et par la Mara River à l’est, ce fameux triangle est riche en faune et pourtant moins visité par les voyageurs du fait de son éloignement des portes principales. De quoi en profiter à 100% ! Formalités d’entrée dans le parc (taxe et campsites à régler sur place). En fonction de votre timing, vous pourrez effectuer un premier safari autonome dans les environs proches. Seul impératif, être à votre campsite au plus tard vers 17h30 (1h avant la nuit). Installation pour la nuit à l’Oloololo public campsite, sans doute le mieux aménagé de toute la réserve (douche / eau froide / toilettes sèches). Au lever du jour, les vues sur les plaines et les montagnes sont tout simplement magiques !
Aux premières lueurs de l’aube, en piste pour une journée complète de safari à bord de votre 4x4 ! Si vous voulez vous assurer les services d’un guide, certains rangers aux gates peuvent se rendre disponibles moyennant rétribution (autour de 3000 KSHS la journée ; +/- 30€). Lieu de tournage du film « Out of Africa » et source d’inspiration des dessinateurs du « Roi Lion », le Masai Mara couvre 1700km² de terres rouges s’étendant à perte de vue. Bosquets d’acacias solitaires, herbes brillantes et ondulantes… La savane est juste sublime et incomparable. Que ce soit en dehors ou pendant la Grande Migration (de juillet à octobre selon les années), la faune est prolifique. Les impalas et antilopes sont suivis de près par les prédateurs tels que lions, guépards, hyènes et léopards, tandis que les éléphants, buffles, girafes et autres grands mammifères peuplent ces plaines immenses en un nombre irréel ! Dans les rivières et les marécages, se prélassent crocodiles du Nil et familles d’hippopotames. Et les amateurs d’oiseaux ne seront pas en reste si l’on compte les autruches, oies d’Egypte, ibis, ou encore les charognards tels que marabouts et vautours… Notre suggestion d'itinéraire pour la journée : depuis le campsite, cap vers l’est en direction du Kichwa Tembo Airstrip. Après 3 km, la piste bifurque plein sud vers les eaux brunes de la Mara River. Durant la Grande Migration, ce sont des milliers de gnous et de zèbres qui traversent non sans risques les méandres de la rivière. Le reste de l'année, pas d’inquiétude, on parle quand même d’un territoire abritant la plus importante faune sauvage au monde ! Sur 25km environ, vous longerez, de points de vue en points de vue, des berges à la hauteur parfois impressionnante, avant d'arriver aux abords du Mara Serena Safari Lodge. Si vous avez envie d’une pause ou d’un bon café, c’est le moment ! Ensuite, nous vous proposons une belle boucle de 40km au cœur des plaines, avec en ligne de mire les reliefs occidentaux de l’escarpement. Vous reprendrez la piste principale, le long du Serena airstrip (sur votre droite). Au bout de 4km, à l’intersection fléchée, continuer tout droit sur 6km jusqu’au nouveau croisement avec signalétique, et prendre à gauche sur la piste Ngiro-are outpost que vous suivrez sur 13km. Nouveau croisement : vous laisserez la Ngiro-are qui continue tout droit et prendrez la piste de gauche ou « salt lick track ». Sur ce tracé, 4 passages à gué peu aménagés exigeront un peu d’attention (depuis l’intersection : à 1,5km ; à 8km ; à 12,5km ; et à 16km, ce dernier étant plus caillouteux). Placez bien vos roues ! Un peu plus loin, vous retrouverez la piste principale, en direction du Mara Serena Safari Lodge (à gauche, puis à droite). Votre lieu de camping pour la nuit, l’Iseiya public campsite, se situe environ 500m avant le lodge (une borne indique « public campsite » sur la gauche). A part des toilettes sèches, il n’est pas aménagé, mais sa proximité avec le lodge permet d’aller boire un verre au bar, de remplir votre jerrican d’eau ou bien de faire un ravitaillement d’appoint en carburant (au prix fort….)
Au petit matin, départ pour une nouvelle journée de safari autonome. Un conseil ? En sortant de votre campsite, après 100m sur la droite, prenez la première piste sur votre gauche ; une borne signale « Mara Bridge 20km ». Ce parcours suit la Mara River, avec encore quelques passages à gué (à 8,5km ; 12,5km) et ruisseaux asséchés. Il vous mènera notamment jusqu’au point de vue de Kuinanna Kubwa, l’un des plus beaux spots pour observer à 180° la Grande Migration lorsqu’elle traverse la rivière ! Plus loin, vous arriverez au Purungat Mara Bridge, seul pont permettant de passer sur la rive gauche. Une aire de pique-nique et des toilettes sommaires sont à disposition. Ici, vous quittez le Mara Triangle, bienvenue dans la Masai Mara National Reserve ! Quelle différence ? Une question de gestion du territoire : le Triangle est une « conservancy » à but non lucratif, la Game Reserve est sous la maintenance du comté de Narok. Important : les taxes d’entrée déjà payées sont également valides dans ce secteur. De ce côté-ci, ne cherchez pas de bornes signalétiques, il n’y en a pas mis à part les panneaux fléchant les lodges. Se repérer est laborieux : en plus d’observer la faune, gardez un œil sur le GPS… Après le pont, ne manquez pas la Hippo Pool, souvent occupée par de gros crocodiles se prélassant au soleil. Ensuite, direction plein est via l'axe principal E176, sur 28km jusqu’à Keekorok. Peu après le lodge du même nom, plusieurs pistes partent à droite. Notre itinéraire favori ? Juste après le bel acacia parasol, à l’embranchement marqué d’un gros bloc de béton triangulaire, vous prendrez sur la droite vers l’airstrip de Keekorok et poursuivrez vers les beaux reliefs d’Ololoitikoshi et d’Ol Opelagonya, territoire des girafes Masai, éléphants, zèbres, lions, et léopards solitaires…Au bout de 10km, passage à gué (aménagé) sur une rivière bordée de palmiers et de berges rocheuses, un ravissant petit coin de paradis ! A nouveau 10km plus loin, arrivée à l’Ololaimutia Gate et pourcontinuation au nord par la piste en épingle à cheveux qui remonte vers la Sekenani gate (indication « Jambo Safari Lodge »). Buissons d’épineux ou de feuillus, arbres à saucisse, sols plus caillouteux… Le paysage est ici très différent, et les immenses plaines sont déjà presque un souvenir. A l’intersection des 3 panneaux (Maison Royale, Osero Enarau Camp & Sekaneni Camp), il faudra bien suivre la piste de droite jusqu’à la Sekenani gate, au bout de 7km. Formalités de sortie du parc avant de rejoindre votre camping pour la dernière nuit de votre aventure au Kenya. Ici, pas de "public campsite" mais des camps aménagés mettant à disposition des aires pour camper. Deux adresses au choix (pas de réservation anticipée ; tarifs entre 10 et 20 USD par personne et par nuit selon la saison) : le Wajee Mara Camp juste après la gate, ou bien le Mara Explorers (notre préféré), écocamp bien géré situé 4 km plus loin au calme. Tous mettent à disposition toilettes, eau chaude, douches, et facilités pour se restaurer.
Ce matin, vous prendrez le temps de préparer vos bagages, et de ranger un peu votre 4x4 et tout le matériel de camping. Ce soir, vous rentrez en France ! En route vers Nairobi par la C12. Les premiers 30km se font sur une piste cabossée, mixant tôle ondulée et vieux goudron complètement délité. Vous observerez certainement encore quelques gnous, zèbres et antilopes, et croiserez sûrement quelques bergers masais et leurs troupeaux. Puis la route devient bitumée jusqu’à Narok. Au croisement avec la B3, vous prendrez à droite plein est et roulerez 85km vers Mai Mahiu. De là, vous continuerez à droite, plein sud cette fois sur 18km jusqu’à la petite ville de Limuru, pour enfin récupérer l’A104 vers la capitale. Important : 10km plus loin environ, il faudra bien rester sur la file de gauche pour ne pas manquer la sortie indiquée « Kikuyu / Mombasa Road » (alors que Nairobi file tout droit). Vous êtes sur le Southern Bypass, jusqu’à l’indication « JKI Airport (A104) 9km / Lane 2 », puis à gauche vers la « Mombasa Road » (A109). Vous penserez à faire le plein d’essence ; Total Air View est la dernière station service avant la sortie vers la zone aéroportuaire, signalée par un panneau « Jomo Kenyatta International Airport ». Restitution de votre 4x4 au lieu de rendez-vous fixé. Formalités d’enregistrement et vol retour vers la France. Prestations et nuit à bord.
Arrivée en début de matinée.
N.B. :
L'itinéraire peut être sujet à modifications suivant les contraintes d'organisation (transport et hébergement notamment) et les conditions météorologiques.
Comment personnaliser votre voyage ?
Il s’agit d’un exemple d’itinéraire, que vous pouvez modifier avec votre conseiller. Ce dernier aura à cœur de vous aider à composer un voyage hors des sentiers battus, sans passer à côté des incontournables pour autant. Vous pouvez facilement combiner le Kenya avec la Tanzanie, Zanzibar ou bien encore l’Ethiopie.
A partir de 1999€ / pers. base 2 aventuriers
A partir de 1590€ / pers. base 4 aventuriers
A partir de 1399€ / pers. base 2 aventuriers
A partir de 999€ / pers. base 4 aventuriers
Aucun entraînement spécifique requis.
Quel que soit la catégorie de vos lodges, camps ou hôtels, tous sont sélectionnés en fonction de leur emplacement, de leur rapport qualité/prix et de leur confort, en priorisant toujours les petites structures de charme.
On ne dira pas que le Kenya est le pays d’Afrique où l’on mange le mieux. L’ugali (sorte de polenta) nourrit sans émotion. La viande grillée (chèvre et mouton) anime un peu. La cuisine internationale des hôtels et des lodges est très correcte et réserve à sa clientèle des produits de bonne qualité (gibier, fruits). L’english breakfast est de rigueur. C’est la cuisine de la côte qui est la meilleure ; apports africains, indiens et arabes ménagent de bonnes surprises (noix de coco et épices sont mises à contribution). Poissons et crustacés se distinguent.
Un guide / chauffeur local francophone vous accueille dès votre arrivée sur Nairobi, et vous accompagne jusqu'à la fin de votre safari.
Transport en minibus à toit ouvrant pour une vision panoramique durant les safaris.
Possibilité en supplément d’un transport en véhicule 4x4.
Se rendre au Kenya est à la fois facile et pratique. De nombreuses compagnies internationales desservent le pays avec des vols à destination de la capitale Nairobi. Si vous souhaitez bénéficier d’un vol direct, optez pour un vol Air France ou Kenya Airways.
Vous avez la possibilité de prendre un vol intérieur à la fin de votre safari, entre Nairobi et Mombasa pour une extension balnéaire.
Si vous optez pour un voyage comprenant vos vols internationaux, nous vous conseillons de vous rendre à l'aéroport 3 heures avant le départ.
Dans le cas contraire, un guide vous attendra à votre arrivée sur l'aéroport de Nairobi.
Afin de tenir compte des contraintes imposées par nos prestataires pour votre voyage, et conformément à nos conditions de vente, en cas d’annulation de votre part avant le commencement du voyage, nous vous appliquerons des frais d’annulation basés sur nos frais réels justifiés à la date de votre annulation.
La partie safari est obligatoire en en tout inclus, seuls les pourboires, les boissons et les pourboires ne sont pas compris. L’usage des cartes de crédit n’est courant dans les lodges.
Reste à votre charge les éventuels repas sur Nairobi et Mombasa (dans le cadre d’une extension balnéaire)
Au Kenya, le pourboire est une tradition bien ancrée. Il n’est jamais inclus dans la note (sauf, parfois, au restaurant). La règle générale est : 10% du montant de la facture. Les prestations fournies par nous comprennent les taxes et le service. Cependant, le personnel de l´hôtel où vous séjournerez s´attend à un geste de votre part, si le service vous a donné satisfaction. A un guide, on donnera entre 7 et 10 euros par jour et par personne.
Aux conducteurs-guides, il est de coutume de donner un pourboire en fin de safari. Le montant sera fonction de la qualité du service. Nous vous conseillons de situer les choses entre 3 et 5 euros par jour et par voyageur.
Si le cas se présente, on évitera en revanche d'encourager la mendicité, notamment celle des enfants, en faisant des distributions « sauvages » dans la rue. Si l'on souhaite apporter son aide en fournissant du matériel scolaire, des vêtements ou des médicaments, il est préférable de les remettre au directeur de l’école, au chef du village ou au dispensaire le plus proche, qui sauront en faire bénéficier les plus démunis.
. Lunettes de soleil [préciser le cas échéant]
. Gourde isotherme (1 L min.)
. Lampe de poche et/ou lampe frontale (étanche) [le cas échéant]
. Crème solaire haute protection
. Briquet pour brûler vos détritus (à mettre dans le bagage en soute)
. Couteau pliant (à mettre dans le bagage en soute)
. Nécessaire de toilette (produits biodégradables de préférence)
. Papier de toilette (biodégradable si possible)
. Serviette de toilette à séchage rapide
. Protections auditives anti-bruit
. Chapeau ou casquette couvrante sur le cou
. Adaptateur de prise électrique
Celle-ci sera validée avec votre médecin en tenant compte des caractéristiques de votre circuit. Elle contiendra :
. Un antalgique.
. Un anti-inflammatoire (comprimés et gel).
. Un antibiotique à large spectre.
. Un antispasmodique, un antidiarréique, un antibiotique intestinal, un anti-vomitif.
. Un désinfectant, des pansements, des compresses stériles et de la bande adhésive.
. Un antiseptique.
. Un veinotonique.
. De la crème solaire et de la Biafine.
. Un collyre.
. Des pastilles pour purifier l'eau.
. Un répulsif contre les moustiques ; veuillez vous reporter à la rubrique "Santé".
Vous devez conditionner l’ensemble de vos affaires en 2 sacs :
1 - Le sac à dos : Sac à dos de randonnée d’une capacité de 35 litres environ, il vous sera utile pour le transport de vos affaires personnelles durant la journée. Il vous servira aussi en tant que bagage à main lors de vos déplacements pour toutes vos affaires fragiles (appareil photo…), de valeur (lorsque votre hébergement ne dispose pas de coffre-fort) et pour vos éventuels médicaments. Il sera en cabine lors des transports aériens. Généralement, le poids des bagages cabine est limité à 10 kg par personne.
2 - Le grand sac de voyage souple : Il doit contenir le reste de vos affaires. Il sera en soute lors des transports aériens. Le poids des bagages en soute vous sera indiqué sur votre convocation ou billet.
Attention ! Une tenue décente est recommandée. Pas de short, de caleçon ni de décolleté pour ne pas choquer les villageois et pour éviter les coups de soleil ravageurs.
. Chaussures de marche : elles doivent être solides, bien tenir le pied et la cheville.
. Chaussures légères (tennis) ou sandales et chaussettes pour visiter les monastères et les lieux de culte.
. Pantalon léger et/ou bermudas : éviter les shorts courts.
. Tee-shirt, chemise ou sweat-shirt : évitez les vêtements décolletés.
. Pull-over chaud ou veste en fibre polaire.
. Veste en duvet.
. Coupe-vent ou anorak léger.
. Foulard.
. Chapeau
Passeport obligatoire, en cours de validité, valable au moins 6 mois à compter de la date d'entrée sur le territoire kenyan, pour les ressortissants français. Pour les autres nationalités, nous sommes à votre disposition pour vous accompagner dans vos démarches. Attention ! le passeport doit impérativement comporter au moins deux pages vierges vis à vis.
Passeport d’urgence. Ce document n’étant pas accepté partout, il faudra s’assurer, avant d’en faire la demande éventuelle, qu’il est reconnu par le pays concerné par le voyage ; on vérifiera également s’il implique une demande de visa (ce qui peut être le cas même pour des pays où on en est dispensé avec un passeport ordinaire).
Si vous voyagez avec vos enfants, sachez que, dorénavant, les mineurs, quel que soit leur âge, doivent eux aussi avoir un passeport individuel. La législation française stipule que les mineurs voyageant avec leurs deux parents, ou un seul des deux, n'ont pas besoin d'être en possession d'une autorisation de sortie du territoire. En revanche, ce document est obligatoire (depuis le 15 janvier 2017) si cette condition d'accompagnement n'est pas remplie. Dans ce dernier cas, l'enfant devra présenter : passeport (ou carte d'identité, selon les exigences du pays de destination) ; le formulaire d’autorisation de sortie du territoire, signé par l'un des parents titulaires de l'autorité parentale (le formulaire d’autorisation de sortie du territoire est accessible sur le site www.service-public.fr) ; une photocopie du titre d'identité du parent signataire.
Lorsqu’un mineur voyage avec l’un de ses parents dont il ne porte pas le nom, il est fortement conseillé soit de pouvoir prouver la filiation (https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F15392), soit de présenter une autorisation de sortie du territoire (formulaire Cerfa n° 15646*01) dûment remplie et signée par l’autre parent avec copie de sa pièce d’identité. Cette autorisation ne dispense pas de l’accomplissement de toute autre formalité spécifique à la destination concernant les mineurs.
De nouvelles mesures de sécurité sont entrées en vigueur dans les aéroports : les appareils électroniques (smartphones, tablettes, portables…) doivent être chargés et en état de fonctionnement pour tous les vols allant ou passant par les Etats-Unis et Londres. Les agents de contrôle doivent pouvoir les allumer. Par précaution, ayez votre chargeur à portée de main. Si votre appareil est déchargé ou défectueux, il sera confisqué. Cette mesure étant susceptible d’être étendue à d’autres aéroports, nous vous conseillons de charger vos appareils électroniques avant le vol quelle que soit votre destination.
Permis de conduire : pour éviter tout désagrément, il peut-être utile, même pour les pays extra-européens reconnaissant officiellement sur leur territoire la validité du permis français, de se procurer également un permis de conduire international ou, à défaut, une traduction assermentée du permis français.
Depuis le 1er janvier 2024, les voyageurs français, belges et suisses sont dispensés de visa. En revanche, ils doivent (quel que soit leur âge) obtenir une ETA (Electronic Travel Authorization) pour entrer au Kenya et présenter cette autorisation avant d’embarquer. Pour les autres nationalités, nous sommes à votre disposition pour vous accompagner dans vos démarches.
La demande doit être soumise depuis le site https://www.etakenya.go.ke. L’ETA est valable pour un seul voyage (entrée unique).
La vaccination contre la fièvre jaune n’est exigée à l’arrivée que pour les voyageurs ayant séjourné récemment (ou transité plus de 12 heures) dans l’un des 42 pays d’Afrique sub-saharienne ou d’Amérique du Sud où la maladie peut être présente (voir la carte de l’OMS dans les « news santé »). En conséquence, à l'arrivée à Nairobi ou à Mombasa, en provenance d'Ethiopie, d'Ouganda ou de Tanzanie y compris de Zanzibar, un certificat de vaccination contre la fièvre jaune peut être exigé. Quelle que soit la législation actuelle et hors contre-indications évaluées par le médecin du centre agréé, la gravité de la fièvre jaune, mais aussi le risque « administratif », nous font recommander cette vaccination. Et ce, d'autant que, alors que la fièvre jaune était absente du Kenya depuis les années 90, plusieurs foyers épidémiques sont apparus récemment - janvier-février 2022 - dans le nord du pays : lac Turkana, Samburu, Meru.
Diphtérie, tétanos et poliomyélite, Hépatites A et B, Coqueluche (dont la réapparition chez les adultes, même en France, justifie la vaccination pour tout voyage), rougeole pour les enfants. Pour les voyages longs et aventureux, la typhoïde et la rage, surtout chez les enfants.
Le paludisme est présent dans tout le pays, dès lors qu'on est au-dessous de 1500 m. Si on excepte le Tsavo, la majorité des parcs nationaux et des réserves sont situés à des altitudes voisines ou supérieures. En dehors des régions côtières, et du lac Nakuru (où, bien que situé à 1800 m, des cas de paludisme sont réapparus), la prise de traitement préventif n'y est donc pas indispensable, à condition de mettre rigoureusement en application des mesures de prévention active contre les moustiques : répulsifs, vêtements couvrants, moustiquaires (qui protégeront aussi contre les autres insectes, vecteurs d'autres maladies : mouches, tiques, puces). Pour les séjours sur la côte de l'océan Indien, le traitement préventif recommandé sera Atovaquone-Proguanil (Malarone ou un de ses génériques) ou Doxycycline. Compte tenu du risque d'effets indésirables, la prescription de méfloquine (Lariam) ne sera proposée aux voyageurs qu'en cas de bonne tolérance lors de voyages antérieurs ou de contre-indication aux autres médicaments actifs.
La population se nomme elle-même wananchi (les gens en swahili) et ce terme a une nuance de respect. On appellera un garçon bwana (monsieur) ou stewart, jamais boy ; les femmes, mama. Les Kenyans ne se considèrent pas comme des « noirs » ou des « gens de couleurs », mais comme African ou Asian, selon leur origine.
La population de Lamu est musulmane ; les femmes y portent des vêtements couvrants ainsi qu´un voile cachant une partie du visage. Il serait particulièrement malvenu, dans ces conditions, d´adopter une tenue trop décontractée, qui risquerait de choquer vos interlocuteurs et vos hôtes.
En pays masaï, photographier des personnes ne va pas de soi ; pour éviter tout malentendu, il vaudra mieux attendre que les guides aient obtenu de l’autorité locale une autorisation de le faire.
Le Kenya se situe sur l’équateur, mais l´altitude des reliefs, les déserts du nord et l´influence maritime à laquelle est soumise la côte suscitent des contrastes. Le climat est donc chaud et humide sur la côte, torride et désertique dans le nord, très agréable sur les plateaux du centre, du nord et de l´ouest.
Attention ! à l´intérieur l´altitude moyenne est de 1 300 m, matinées et soirées peuvent être fraîches (et les nuits froides). En revanche, jamais moins de 20° la nuit sur la côte.
Il y a deux saisons des pluies (de mars à mai et novembre-début décembre). La saison la plus chaude va de Noël à février (saison sèche) ; les températures moyennes oscillent alors entre 25 et 30° sur la côte, et entre 14 et 25° à l'intérieur du pays.
La saison venue, les pluies, si elles ne sont pas réellement torrentielles ni ininterrompues, peuvent rendre un certain nombre de pistes impraticables. Les photographes et autres amateurs de lumière éprouveront leurs plus fortes émotions à cette période : ciels de plomb où se jouent des lueurs d’orage ; limpidité glorieuse après l´averse...
Pour les safaris, le Kenya est une destination phare. La réputation de sa faune n’est plus à faire. Big Five en tête, elle offre une variété impressionnante. Des gazelles (de Robert, de Grant, de Soemmering, de Waller, de Thomson…) ; des antilopes : bongo, oryx, damalisque, bubale, impala, élan du Cap, grand koudou, dik-dik, et puis gnous, cobs, guibs… Des girafes, des zèbres, des hippopotames, des singes… Des véloces (guépards), des grognons (potamochères, hylochères, phacochères), des ricanants (hyènes)… Le Kenya est l’un des derniers pays où migrent encore tous les ans des troupeaux de grands mammifères (gnous et zèbres, en particulier). Les oiseaux abondent aussi : aigles, vautours, serpentaires, autruches, flamants, pélicans, grues, hérons, marabouts, rolliers… On compte 88 amphibiens et plus de 21 000 espèces d’insectes.
Les Big Five ? L’éléphant, le rhinocéros, le buffle, le lion et le léopard.
Quant à la flore, les contrastes du relief et du climat permettent qu’elle prenne des formes très diverses, de la luxuriante forêt équatoriale humide à la chiche végétation des zones arides.
Pour joindre le Kenya depuis la France : composer le 00 + 254 + code régional (ci-dessous) + le numéro de votre correspondant (4, 5 ou 6 chiffres ; 7 à Mombasa ou Nairobi)
Codes régionaux : Diani, 127 ; Eldoret, 321 ; Kericho, 361 ; Kisumu, 35 ; Kitale, 325 ; Lamu, 121 ; Malindi, 123 ; Mombasa, 11 ; Nairobi, 2 ; Naïvasha, 311 ; Nakuru, 37 ; Nanyuki, 176 ; Nyeri, 171 ; Watamu, 122.
Pour joindre la France depuis le Kenya : composer le 00 + 33 + le numéro de votre correspondant à 9 chiffres (sans le 0 initial).
A Nairobi ou Mombasa, Il est assez facile de téléphoner en France de votre hôtel. D´un lodge en brousse, c’est quasiment impossible (sauf, en cas d´urgence, liaison radio avec Nairobi).
Le Kenya est à GMT+3, c'est à dire :
- en été, il y a 1 heure de décalage (quand il est 12h00 en France, il est 13h00 au Kenya) ;
- en hiver, il y a 2 heures de décalage (quand il est 12h00 en France, il est 14h00 au Kenya).
220 volts. Les prises de courant sont à trois fiches, deux plates horizontales et une verticale (système britannique). Nous vous conseillons d’emporter un adaptateur.
Dans les lodges, l´électricité est généralement fournie par un groupe électrogène, qui ne fonctionne qu´à certaines heures. Les coupures de courant sont fréquentes.
• Petite musique de chambre sur le mont Kenya. Vivienne de Watteville.
• Kenya. Eyewitness Travel. Dorling Kindersley
• À l’ombre du mont Kenya. Thomas Dinessen. Esprit Ouvert
• Du Harrar au Kenya. Henry de Monfried. Grasset et Fasquelle
• Un thé chez les éléphants. Vivienne de Watteville. Payot
• L’homme qui portrait un bébé dans son genou. Daniel Mutuvi Muema.
• Quand les animaux parlaient dans la savane. Daniel Mutuvi Muema.
Depuis 2019, nous nous efforçons d’appliquer les exigences des recommandations de la norme internationale NF ISO 20611 sur les bonnes pratiques en matière de durabilité dans le tourisme d’aventure. Ainsi, nous défendons et mettons en pratique, une vision du voyage durable et engagée, dans 5 domaines essentiels :
1/ Réduire notre empreinte carbone
Depuis 2018, 100% des émissions de CO2 de vos voyages sont absorbées. Et depuis 2020, les deux tiers de nos voyageurs en Europe continentale sont incités à partir en train plutôt qu’en avion ! En savoir plus…
2/ Améliorer la gestion des déchets
Sur nos voyages, bouteilles en plastique et couverts jetables sont bannis. Au sein de l'entreprise, tri des déchets, produits d'entretien écologiques, etc. En savoir plus…
3/ Protéger la faune
Depuis 2019, nous appliquons notre « Charte sur le respect de la vie animale » : ne pas perturber leur habitat, respecter une certaine distance, prendre soin des animaux de bât, etc. En savoir plus…
4/ Soutenir les populations locales
Nous appliquons depuis 2019 notre « Charte de l’accueil communautaire ». Nous soutenons financièrement des projets locaux de protection de l’enfance et d'aide au développement économique. En savoir plus…
5/ Favoriser l'accessibilité
Un tour opérateur d'aventure qui propose des voyages adaptés aux Personnes à Mobilité Réduite (hébergements, véhicules, étapes…) ? Mais oui, l'aventure ce n'est pas que le trek ! En savoir plus…
Et vous que pouvez-vous faire ?
Pour commencer, prendre connaissance et appliquer les 15 commandements du voyageur responsable avant, pendant et après le voyage.
Chacun de nous peut contribuer à être un voyageur responsable, attentif au monde et à ses habitants, en suivant quelques conseils avant, pendant et après le voyage.
- Avant le voyage
1- Choisissez des professionnels engagés dans le tourisme responsable
2- Vous informer, apprendre quelques mots dans la langue du pays…
3- N’emportez que l’essentiel et ramenez des souvenirs fabriqués localement
4- Gardez l’esprit critique
- Pendant le voyage
5- Adoptez les us et coutumes locaux
6- Avant de photographier une personne, prenez le temps de lui demander
7- Comme chez vous, triez les déchets et économisez les ressources
8- Préservez les sites visités
9- Préférez le don aux associations plutôt que la mendicité
10- Dénoncez l’exploitation sexuelle des enfants
- Après le voyage
11- Honorez vos engagements
12- Signalez les situations graves et intolérables remarquées
13- Compensez les émissions liées à votre voyage
14- Soutenez des initiatives locales
15- Partagez votre expérience
Randonnées (ou autres activités sportives) de 1 à 4h par jour en moyenne, pas forcément tous les jours, avec ou sans dénivelés (max. 300 m). Voyage accessible à toute personne habituée à la marche décontractée.