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Conseil du pro !
Rangez votre appareil photo, tant que la relation avec les villageois n'est pas instaurée! Nous visitons des tribus préservées du tourisme, cela engage la responsabilité de chacun et implique d'avoir un code de conduite et de respect envers nos hôtes
Comment définir Philippe Frey et résumer la vie de ce baroudeur en quelques lignes ? Disons que c’est un aventurier scientifique qui explore depuis plus de 30 ans les coins les plus reculés et hostiles de la planète. Cet alsacien consacre sa vie aux voyages, à l’étude des déserts, des populations qui y survivent et de la manière d’y voyager.
"Tout débute dans les années 70 lorsque je fugue en stop jusqu’à Istanbul." Philippe ne savait pas encore qu’il passerait ensuite sa vie à partir. Il revient pour suivre des études d’ethnologie, obtient un doctorat et trois maîtrises, et enseignera à ses heures perdues à l’université de Strasbourg et de Mulhouse.
Membre de la Société des Explorateurs Français, il est reconnu scientifiquement et médiatiquement en France comme le spécialiste des zones désertiques. Il a traversé les grands déserts de chaque continent, seul, à pied, à dos de chameau ou à cheval. Le Sahara, 9 000 km en 9 mois. Le Kalahari, 7 mois à survivre de cueillette et de chasse. Puis près de 2 ans à travers les déserts méconnus d’Orient et d’Asie centrale, 4 000 km dans les zones au carrefour de l’Iran, le Pakistan, l’Afghanistan et l’Inde. 7 000 km à cheval dans les déserts d’Amérique en 7 mois, et il se lance ensuite dans le désert de Gobi, un terrain extrêmement hostile, à explorer sans fin.
Auteur de nombreux livres, il raconte ses aventures, toujours hautes en couleur, dans de nombreux ouvrages. Il ne vous donnera qu’un seul conseil : "se débarrasser du superflu, c’est le principal enseignement des peuples du désert."
Vol de nuit au départ de Paris (départ de province possible et sur demande)
A notre arrivée à l'aéroport d'Addis-Abéba, nous prenons la route en direction de l'Ouest et des hauts plateaux. Nous traversons le pays et le pays Gouragé parsemé de magnifiques villages typiques et croisons les paysans dans leurs plantations de café. Nous poursuivons jusqu'à la ville de Jimma où nous passons la nuit. Addis-Abéba est la capitale de l'Ethiopie et est la capitale la plus élevée d'Afrique et la 5ème mondiale, en culminant à une altitude comprise entre 2 300 et 2 600 mètres. Les volcans surplombant la ville quant à eux, culmine à plus de 4000 mètres.
Transfert: 357 Km, environ 8h de route
Après le petit déjeuner, nous prenons la route vers la zone du Bench Maji, faisant partie de la région des nations, nationalités et peuples du Sud.
Plus on s'approche de la frontière su Soudan sud, plus la forêt équatoriale gagne du terrain. Beaucoup moins connue que la forêt équatoriale d'Afrique centrale, la forêt équatoriale éthiopienne est coincée entre les zones plus arides du Soudan Sud et du Kenya.
Nous profitons de ce paysage inattendu et visitons une chute d'eau somptueuse au coeur de la jungle et rencontrons nos premiers habitants locaux, de la tribu des Chakchako, qui signifie "les habitants de la forêt". Ce sont des « pygmées éthiopiens » jamais approchés et inconnus des ethnologues. Ils sont petits de taille, cultivent un peu de manioc et de tabac sous la grande forêt équatoriale éthiopienne et vont chasser buffles ou antilopes au Soudan.
Après la visite, nous reprenons la route jusqu'à la ville de Tépi, où nous passons la nuit.
Transfert: 227 Km: environ 8h de route, puis de piste
Après le petit déjeuner, visite de Tépi où nous faisons quelques achats, puis nous prenons la piste et nous dirigeons vers un lac d'altitude perdu au milieu de la forêt équatoriale. C'est au bord de ce lac qu'à élu domicile, une colonie de babouins. Une église orthodoxe surplombe le lac et ceux qui le désirent peuvent s’y rendre. Préparation de la logistique pour le trek du lendemain.
Contrairement à ce que tout le monde pense, ce n'est pas au Yémen, mais bien dans cette zone qu'a été découvert et identifié, la première souche de café sauvage.
Nuit en bivouac aux abords du lac.
Transfert: 120 Km environ, 4h à 5h de piste
Bonne piste au départ pour quitter Tépi vers Gambela. Puis petites pistes de forêt lorsqu’on s’avance vers la frontière du Soudan sud.
Aujourd'hui, notre journée nous mène à travers la forêt équatoriale éthiopienne, à la rencontre des Chakchako ( qui signifie "les habitants de la forêt"), les pygmées locaux, inconnus des ethnologues.
Après environ 8h de marche à travers une forêt dense et parfois humide, nous arrivons dans le village Chakchako où nous passons la nuit. Nous vivons moment de partage exceptionnel avec cette tribu isolée.
NB: Prévoir des chaussures avec un bon « grip » en cas de pluie, ainsi qu'une cape de pluie.
Aujourd'hui, après nos derniers moments de partage avec cette fabuleuse population, nous retrouvons nos véhicules et arpentons les pistes pour nous rendre jusqu'à la ville de Mizan Teferi.
Nous en profitons pour récupérer nos autorisations pour la suite du séjour et ravitailler le 4x4. Nous passons la nuit à Mizan Teferi.C’est une petite ville à la population majoritairement des plateaux (d’ethnies Kaffa ou Madji). Nous pouvons bien sûr nous promener en ville ou boire un café éthiopien dans Hotel qui est de bonne catégorie (le seul à des centaines de kilomètres).
Transfert : environ 220 km de petite piste... puis de piste nationale. Soit 4-5h de piste
Aujourd'hui, nous nous apprêtons à rejoindre le pays Surma. Nous traversons tout d'abord la forêt de Bébéka, nous quittons la forêt équatoriale et arrivons sur l'une des plus belles zones de la région, faite de savane, entrecoupée de maquis et roulons de vallée en vallée.
Il nous faut environ 7h sur les pistes pour rejoindre la ville de Kibbish, le chef lieu Surma. En soirée, au moment de rentrer les vaches pour la nuit, on croise parfois les immenses troupeaux de bovins menés par les bergers suri, le plus souvent nus et armés de lances. Nuit à Kibbish.
Moment de rencontre avec les Suri (pluriel de Surma). Car c’est une population très attachante et très spectaculaire. Soomsoon, notre guide local est avec nous et fait le lien. Il possède un terrain au bord de la rivière Kibbish – à 2-3 km et les tribus viennent d’elles-mêmes à notre rencontre. Ou simplement pour se laver à la rivière. Nous y dormons... donc beaucoup de contacts le soir et le matin suivant
NB: En fonction de la saison ou des éventuelles tensions ethniques, on choisit entre 2 itinéraires: soit par Tum et Maji. Soit par Bébéka. Si tout va bien, on choisit ce 2ème itinéraire (Environ 250 km. environ 7h de piste)
Au matin, pendant que les derniers détails pour notre trek se règlent, nous visitons la ville (chef lieu des Suri) ou prolongeons nos échanges avec les villageois rencontrés la veille. Dès que tout est prêt, nous entamons notre trek de 4 jours à travers le pays Surma. Pour notre première journée, nous gravissons les montagnes qui bordent la vallée de Kibbish. Nous passons la nuit chez les habitants d'un petit village. Nos bagages et l'intendance sont transportés par des mules.
Pour ce trek, nous marchons entre 7 et 8 heures chaque jour, à notre rythme, de nombreuses haltes à la rencontre des nomades Suri viennent ponctuer notre marche.
Nous dormons chaque soir dans un village Surma. C'est la meilleure façon de vivre au contact de ce peuple étonnant.
En forme pour notre deuxième jour, aujourd'hui, nous gravissons les montagnes bordant la vallée de la Kibbish. Notre journée de randonnée est ponctuée de haltes à la rencontre des suri, avec lesquels nous passons un moment.
Nuit dans un village suri.
Après un bon petit déjeuner, nous reprenons notre trek dans l'objectif de rejoindre la vallée suivante, inaccessible en voiture. Il nous faudra à nouveau 7 à 8 de marche pour y parvenir.
Aujourd'hui nous passons notre journée à découvrir tous les petits villages isolés sur ce territoire. Nous passons du temps avec des habitants Suri et nous pourrions rencontrer également leurs voisins, les Mursis et les Bumé.
La première ethnie, les mursis, est une ethnie voisine de celle des Suri. A trois avec les Me'en, ils forment les Suri, ils parlent la même langue.
La seconde quant à elle, les Bumé de Nyangatom, est l'ennemie traditionnelle et ancestrales des Suri. Chaque territoire est marqué et délimité, on retrouve également quelques nomanslands pour les séparer.
Nous passons la nuit dans un village Surma.
Aujourd'hui marque le dernier jour de ce magnifique trek rempli de rencontres. Nous profitons des derniers instants et échanges avec les Suri au fil des villages et rejoignons la limite du Parc National de l'Omo.
Le P.N de l'Omo est l'un des 9 parcs nationaux d'Ethiopie, il est situé dans l'un des lieux les plus reculés et pittoresques du pays. Il contient la basse vallée de l'Omo qui fait partie des sites du Patrimoine mondial de l'UNESCO depuis 1980, après la découverte des fragments fossiles d'Homo Sapiens vieux de 195 000 années.
C'est ici que nous retrouvons nos véhicules 4X4.
Aujourd'hui, nous quittons le territoire des Suri et rejoignons Nyangatom par la piste, situé au bord de la rivière Omo. Il y a là l'un des rares ponts qui enjambent le fleuve.
La piste vient d'être refaite et en principe, elle est empruntable plus facilement qu'avant. Si tout va bien, nous pouvons atteindre Jinka et dormir en hotel, sinon, nuit en bivouac.
NB: la piste dans le parc de l’Omo est “bonne”: 60 km environ jusqu’au fleuve en 2h. Puis la nouvelle route goudronnée devrait nous permettre de rejoindre Nyangatom rapidement: 120 km en 2h. Un pont existe à la sortie du parc national de l’Omo, mais il est interdit. Par contre, le pont de Nyangatom est en fonction depuis 3 ans environ. De Nyangatom, piste de 90 km environ jusqu’à Turmi (3h). Puis piste nationale de Turmi à Jinka: 90 km de piste puis 50 km de goudron (3h)
Soit au total 410 km. En environ 10h. Certes, c’est une longue étape. Mais le nouvel état des pistes et des ponts le permet. C’est surtout qu’il n’existe pas de bonne possibilité de logement à Nyangatom et qu’on ne passe pas à Turmi, sans faire un détour
Après le petit déjeuner, nous prenons la route, goudronnée cette fois et nous rendons à Arba Minch, la ville aux "quarante sources". Nuit à Arba Minch.
Arba Minch est la plus grande ville de la région du Woreda, au sud de l'Ethiopie et tient son nom des nombreuses sources souterraines qui coule sous la ville, elle offre un point de vu magnifique sur le lac Abaya et le lac Chamo.
Le lac Abaya est plutôt jaune et limoneux tandis que le lac Chamo est plutôt bleu et accueille les plus gros crocodiles du monde.
Transfert: 366 Km: environ 6 h de route
Tôt le matin nous reprenons la route vers Addis Abéba. Transfert à l'aéroport et vol de retour vers Paris. Arrivée le J16.
Transfert: 435 KM, environ 7h30 de route
N.B. :
Votre guide peut être amené à modifier l'itinéraire en raison de contraintes d'organisation (transport et hébergement notamment), des conditions météorologiques, du niveau des participants, ou de toute autre cause relative à la sécurité du groupe.
FICHE CONSEIL AUX VOYAGEURS
Le ministère classe une partie des zones que vous allez traverser en zone orange. Néanmoins, nos contacts réguliers avec notre partenaire en Ethiopie nous confortent dans l’organisation de ce voyage. Comme le préconise le ministère, notre partenaire se tient informé de l’actualité avant chaque déplacement, les lieux de rassemblements seront évités, et nous resterons vigilants dans les lieux publics.
Pour ce voyage, il est OBLIGATOIRE de nous retourner la fiche Ethiopie "conseils aux voyageurs" du ministère des Affaires étrangères, signée et comportant la mention manuscrite spécifiée dans un courrier qui vous sera remis à l'inscription.
Vous souhaitez ajouter ou privatiser une date de départ afin de la réserver à vos proches, vos amis, votre association, votre CE : décrivez-nous votre projet !
Ce séjour est d'un niveau dynamique +. Etapes : 7h à 8h de marche pendant 5 jours, dont 4j d'affilé. La première journée de trek en pays Chakchako est plus facile car ce sont des vallées sans grands dénivelés. Les 4 jours de trek se font sur des vallées plus escarpées, il est donc nécessaire d'être un bon marcheur et être en bonne condition physique.
Lors de la randonnée en forêt, le sol peut être humide et glissant, nous vous conseillons d'emporter des chaussures imperméables et avec un bon "grip" ainsi qu'une cape de pluie.
De 3 à 10 personnes.
Des repas simples sont généralement pris dans les restaurants, en auberge locale, ou sous-forme de pique-nique le midi.
Les diners en bivouac sont cuisinés par notre équipe. ( l'achat de nourriture se fait à Addis Abeba pour l'essentiel)
L’élément de base composant chaque repas éthiopien est l’injera, une sorte de grosse crêpe spongieuse servant de pain. L’injera est disposée sur un grand plateau et les plats (souvent des ragoûts) sont versés dessus. De petits bouts d’injera sont ensuite déchirés à la main et servent de cuillère pour attraper le ragout. L’injera est faite d’une céréale locale appelée teff, mélangée à de l’eau puis laissée fermentée avant d’être cuite dans une très grande poêle. Les plats qui accompagnent l’injera peuvent être de la viande (bœuf, agneau et poulet), des ragoûts (connus sous le nom de wat, plus ou moins pimentés) ou des légumes. Une cuisine internationale peut être dégustée à Addis Abeba, mais à l’exception des pates que l’on retrouve partout, cette cuisine est peu fréquente dans le reste du pays. Les végétariens n’auront pas de mal à se nourrir, mais pourront toutefois souffrir d’un manque de variété.
Nous mangeons tous dans le même plat, chacun son coin et avec sa main droite, on " déchire " un bout d’injéra pour l’utiliser comme fourchette, et venir picorer un peu de chaque chose. Le plat national est le doro wot (sauce à base de poulet pimenté, le ketfo (tartare de bœuf coupé au couteau …) est aussi très apprécié.
Aussi curieux que ça paraisse et même si les italiens sont restés bien peu de temps dans leur " colonie " d’Afrique de l’Est, les spaghettis et les macaronis sont toujours très prisés, on en trouve pratiquement partout.
Une variété de bières locales est disponible, tout comme de vins locaux. Les éthiopiens produisent par ailleurs trois types d’alcool : le tella, une bière faite de différentes céréales, le tej, une sorte d’hydromel et l’areki, un alcool fort issu du maïs.
Sanitaire et douche lors des nuits en hôtel.
Lingettes et seau d'eau pour les nuits en bivouac.
La qualité des hébergements en Éthiopie varie énormément d’un endroit à l’autre, mais sachez que nous faisons le maximum pour vous offrir un service le plus proche de nos standards européens. Il s’agit d’hébergements locaux, simples mais propres. Un certain degré de souplesse est toutefois demandé, car des coupures d'électricité ou d’eau peuvent toujours subvenir. Dans ces moments là, on respire, et on valorise ces choses qui semblent si évidentes chez nous et qui ne le sont en fait pas. Ça fait partie du voyage et de la découverte d’un pays
Votre accompagnateur principal est Philippe Frey. Vous êtes également accompagnés par deux guides Surmi : un jeune guide Surma qui s'appelle Korkodeh, qui sera avec nous sur les 5 jours de trek en pays Surma. Nous le prévoyons en plus de Soomsoom qui est « le » meilleur guide pour les Suri (l'ancien guide de Hans Silvester et de Eric Laforge), soit au départ de la capitale, soit au départ de Mizan Teferi. Les chauffeurs + pour les treks, des muletiers et d'un ou plusieurs gardes armés (Ils sont scouts ou policiers. Il n'y a pas d'insécurité mais c'est une norme sur place)
Vos bagages vous suivent et sont acheminés par véhicule ou par mules lors des treks.
Vol régulier sur la compagnie locale Ethiopian Airlines. La quasi totalité des villes du pays sont desservies par la compagnie avec des vols fréquents et à l'heure sauf imprévus. Pour les vols internationaux, en fonction des disponibilités, nous pouvons aussi avoir recours à d'autre compagnies régulières comme Turkish, Emirates ou KLM
Horaires, pré et post acheminement :
Ces horaires sont fournis à titre indicatif uniquement, nous déclinons toute responsabilité en ce qui concerne les modifications de ces horaires, donc il ne faut pas se baser sur ceux-ci afin d’effectuer vos réservations définitives de trains ou autres transports.
Attention ! Pour vos pré et post acheminement, nous vous recommandons de prévoir une connexion avec un minimum de sécurité, de réserver des titres de transport modifiables, voir même remboursables, afin d’éviter le risque éventuel de leur perte financière. Vous allez peut-être décider de profiter des « tarifs Découverte » de la SNCF ou de vols intérieurs à bas prix. Attention, ce type de billet est non-remboursable ! Sachez que d’autres alternatives existent : billet de congé annuel (25% moins cher), et autres formules avec réductions sans risques.
Quelques sites utiles :
www.adp.fr
Le site officiel d'ADP (Aéroports de Paris). ADP gère l'aéroport d'Orly, de Roissy-CDG (Charles de Gaulle). Vous pourrez y trouver vos horaires d’avion mis à jour avant votre départ. Par téléphone..oubliez..c’est un conseil!
Attitude à l’égard des Officiers de polices, douaniers ou autres forces de l’ordre.
Cela fait partie des "charmes" de l'Afrique... Soyez toujours courtois, polis et patients aux postes de frontière ou lorsque vous traitez avec un policier ou avec des fonctionnaires officiels. Une attitude "arrogante" ne pourra que créer des problèmes à vous-même et à l'ensemble du groupe.
Important : Habillez-vous correctement lorsque vous passez les frontières (pas de pieds nus, pas de torse nu, pas de décolletés provocants, pas de chapeaux ou lunettes de soleil), lorsque vous visitez les marchés, les villages, les villes, et lorsque vous voyagez dans le véhicule.
La nouvelle réglementation de l'aéroport implique que les chauffeurs, guides ou transferistes ont l'obligation d'accueillir les voyageurs à l'extérieur de l'aéroport. Il est donc important de sortir de l'aéroport pour retrouver notre équipe, munie d'un panneau Nomade aventure devant l'aéroport !
A votre arrivée, on vous demandera, au passage de la douane, votre lieu d’hébergement ou votre adresse locale, à cette question précisez donc les coordonnées de l'hôtel suivant ( même si ce ne sera pas votre hôtel): Caravan Hotel Mike Leyland St, Bole, 1000 Addis-Abeba, Éthiopie
NB : Si vous n’êtes pas en règle avec les formalités de police, douane et santé du pays concerné le jour du départ, vous perdrez la totalité du prix du voyage, cette cause d’annulation n’étant pas garantie par les assurances.
Ce voyage est une véritable expédition qui nous mène hors des sentiers battus et dans des régions totalement isolées, cela nécessite de nombreuses heures de pistes pour accéder aux zones préservées et pour avoir des rencontres authentiques.
L'est de la vallée de l'Omo est devenue une sorte de zoo humain. La cause en est le goudronnage des routes en cours depuis Addis Abéba et le manque d'isolement désormais... C'est pourquoi, nous proposons donc sur ce circuit la partie ouest de l'Omo avec surtout les Suri, les plus authentiques des peuples de l'Omo. Il faut -de plus- y aller en trek pour avoir le meilleur contact possible avec les locaux. Pour ce faire, nous avons deux guides Suri.
Ce voyage ne convient pas aux personnes peu autonomes et non respectueuses des traditions et des habitudes locales. Le confort des hébergements correspond à la réalité du pays et au concept même de ce type d’immersion. Nous utilisons des établissements modestes qui favorisent la proximité et la rencontre.
Votre participation à la vie de bivouac est indispensable. Tout le monde est de corvée pour la vaisselle, pour le bois et en général, il y a toujours quelqu'un qui adore s'occuper du feu. Pour les repas, là encore votre aide est toujours la bienvenue.
Afin de tenir compte des contraintes imposées par nos prestataires pour votre voyage, et conformément à nos conditions de vente, en cas d’annulation de votre part avant le commencement du voyage, nous vous appliquerons des frais d’annulation basés sur nos frais réels justifiés à la date de votre annulation.
11.3 Cas particulier des voyages accompagnés par une personnalité.
Pour certains voyages, l’accompagnateur (chef d’expédition, intervenant, conférencier…) est nommément désigné dans le descriptif du voyage sur le site internet de Nomade Aventure : il s’agit notamment de ceux proposés en partenariat avec la Société des Explorateurs Français et accompagnés par l’un de ses membres, ou de ceux guidés par l’aventurier Evrard Wendenbaum. Sans la présence de cet accompagnateur, ces voyages ne sont généralement pas réalisables, ou ne sauraient, la plupart du temps, posséder le même attrait. Aussi, si par extraordinaire cet accompagnateur était empêché de prendre part au voyage en raison, notamment, d’un cas de force majeure, nous pourrions : soit soumettre à l’ensemble des participants la proposition d’un accompagnateur de substitution et, s’il est agréé par tous, maintenir le voyage ; soit annuler le voyage, et proposer à chaque inscrit le choix entre, d’une part un voyage de substitution avec ajustement éventuel du prix (complément à acquitter ou remboursement du trop-perçu), d’autre part l’annulation pure et simple de l’inscription avec remboursement immédiat des sommes versées. Cette situation exceptionnelle ne saurait en revanche donner lieu au versement de toute autre indemnité.
La devise en vigueur en Ethiopie est le birr ethiopien (ETB).
1 € = 31.9 ETB (taux au 24/10/17)
Le birr n’est pas exportable. Vous ne pouvez pas quitter le pays avec plus de 10 birr. Il est possible de les échanger à l’aéroport d’Addis Abeba avant votre retour. Prévoir des espèces (de préférence des petites coupures).
L’euro et le dollar peuvent être changés sur place (à l’aéroport ou dans les hôtels) mais il est impossible de payer avec. Pensez à bien conserver vos reçus de change, ils peuvent vous être demandés. Les chèques de voyages sont quasiment impossibles à changer. L’usage de la carte de crédit est peu répandu, en dehors des grands hôtels d’Addis Abeba .
Lorsque vous faites du change, profitez-en pour demander des petites coupures (les vendeurs n'ont jamais la monnaie, vous le savez bien...), et refusez les billets trop abîmés qui pourraient vous être refusés sur place.
Les cartes de paiement internationales sont en général acceptées dans les hôtels, lodges, camps de luxe et fermes d'hôtes (quelques établissements appliquent néanmoins une commission de 5 % lors des paiements par carte, en raison des frais de banque très élevés pour les transactions par carte). Des guichets automatiques sont disponibles dans les villes, pour Visa et Mastercard. Pour retirer de l'argent avec votre carte dans les banques de villes moins importantes, il vous faudra d'abord vous présenter à l'accueil (Enquiries) afin que l'opératrice demande l'autorisation au bureau central. Cela peut être très long (jusqu'à 2 heures d'attente si par malheur le système informatique ne fonctionne pas très bien) donc, à éviter !
Budget sur place :
Vos dépenses vont dépendre des souvenirs que vous ramenez mais également de votre consommation de boissons non inclues au programme, des repas non compris mais également de votre générosité en terme de pourboires (voir l'onglet "pourboires").
Nous estimons qu'un budget compris entre 150 et 200 € devrait suffire pour la durée du séjour. Il est préférable d'augmenter ce budget si vous envisagez de réaliser des activités optionnelles.
Les pourboires ne sont jamais compris dans la note finale. Cependant leur usage est une coutume locale.
Ces petites gratifications sont très appréciées des équipes locales évoluant dans un pays où le niveau de vie est très bas. Cependant, le pourboire doit être accordé en fonction de votre niveau de satisfaction et selon les petites attentions que vous avez reçues pendant votre séjour.
L'usage veut que le pourboire soit de :
• 5 à 10% de la note dans les restaurants, bars....
• 0.5 à 1 € pour les services (porteurs, laveurs de voiture...)
N'oubliez pas les équipes et chauffeurs complémentaires (qui interviennent au cours du circuit) qui vous quitte avant la fin du voyage et le retour dans la ville de départ (n'hésitez pas à demander conseil auprès de votre guide)
Nous vous conseillons au cours du circuit de créer une caisse commune avec les autres participants pour distribuer les pourboires et acheter les boissons non inclues et/ou des bouteilles d'eau minérale en cours de circuit. Nous vous recommandons un montant compris entre 100 € et 120 € par participant pour cette caisse commune.
Passeport valide au moins 6 mois après la date d'entrée prévue en Ethiopie pour les citoyens français, belges et suisses. Pour les autres nationalités, nous sommes à votre disposition pour vous accompagner dans vos démarches.
Afin de parer à toute éventualité, on veillera à disposer d’un passeport comportant le nombre de pages vierges requis ou suffisant (généralement 3, dont 2 en vis-à-vis).
Passeport d’urgence. Ce document n’étant pas accepté partout, il faudra s’assurer, avant d’en faire la demande éventuelle, qu’il est reconnu par le pays concerné par le voyage ; on vérifiera également s’il implique une demande de visa (ce qui peut être le cas même pour des pays où on en est dispensé avec un passeport ordinaire).
Si vous voyagez avec vos enfants, sachez que, dorénavant, les mineurs, quel que soit leur âge, doivent eux aussi avoir un passeport individuel. La législation française stipule que les mineurs voyageant avec leurs deux parents, ou un seul des deux, n'ont pas besoin d'être en possession d'une autorisation de sortie du territoire. En revanche, ce document est obligatoire (depuis le 15 janvier 2017) si cette condition d'accompagnement n'est pas remplie. Dans ce dernier cas, l'enfant devra présenter : passeport (ou carte d'identité, selon les exigences du pays de destination) ; le formulaire d’autorisation de sortie du territoire, signé par l'un des parents titulaires de l'autorité parentale (le formulaire d’autorisation de sortie du territoire est accessible sur le site www.service-public.fr) ; une photocopie du titre d'identité du parent signataire.
Lorsqu’un mineur voyage avec l’un de ses parents dont il ne porte pas le nom, il est fortement conseillé soit de pouvoir prouver la filiation (https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F15392), soit de présenter une autorisation de sortie du territoire (formulaire Cerfa n° 15646*01) dûment remplie et signée par l’autre parent avec copie de sa pièce d’identité. Cette autorisation ne dispense pas de l’accomplissement de toute autre formalité spécifique à la destination concernant les mineurs.
De nouvelles mesures de sécurité sont entrées en vigueur dans les aéroports : les appareils électroniques (smartphones, tablettes, portables…) doivent être chargés et en état de fonctionnement pour tous les vols allant ou passant par les Etats-Unis et Londres. Les agents de contrôle doivent pouvoir les allumer. Par précaution, ayez votre chargeur à portée de main. Si votre appareil est déchargé ou défectueux, il sera confisqué. Cette mesure étant susceptible d’être étendue à d’autres aéroports, nous vous conseillons de charger vos appareils électroniques avant le vol quelle que soit votre destination.
Permis de conduire : pour éviter tout désagrément, il peut-être utile, même pour les pays extra-européens reconnaissant officiellement sur leur territoire la validité du permis français, de se procurer également un permis de conduire international ou, à défaut, une traduction assermentée du permis français.
Visa obligatoire pour les citoyens français, belges et suisses. Pour les autres nationalités, nous sommes à votre disposition pour vous accompagner dans vos démarches.
Pour les visas touristiques, la demande doit être faite via Internet (e-visa), sur le site www.evisa.gov.et (attention aux sites frauduleux).
Remplir le formulaire de demande, fournir une photo d'identité, le scan des pages utiles du passeport et effectuer le règlement en ligne (entrée simple, validité 30 jours : 52 dollars US ; entrée simple, validité 90 jours : 72 dollars US). Durée moyenne de traitement, 3 jours ouvrés.
Il est aussi possible de se faire délivrer un visa de tourisme à l'arrivée à l'aéroport d'Addis-Abeba.
La vaccination contre la fièvre jaune n'est pas, actuellement, exigée à l'arrivée à Addis-Abeba, si l'on vient d'Europe. Bien que non obligatoire, elle reste recommandée (hors contre-indications médicales, concernant en particulier les voyageurs seniors), essentiellement pour les voyageurs visitant les régions tribales du sud.
Rappels à jour des vaccins DTCP, rougeole pour les enfants. En l'absence d'immunité, vaccins contre les hépatites A et B. Pour les voyages plus longs et aventureux, vaccin contre la typhoïde, contre les méningites A/C/Y/W (Menveo ou Nimenrix), en période épidémique (à faire faire dans un centre agréé), vaccin anti-rabique, surtout chez les enfants.
Le paludisme n'est présent en Ethiopie que dans les régions dont l'altitude est inférieure à 1800 mètres. Pour nombre de voyageurs dont l'itinéraire ira d'Addis-Abeba à Lalibela, Axoum, Simien, Gondar, seule une protection contre d'éventuelles piqûres de moustiques sera nécessaire. Ailleurs, et en particulier pour ceux qui se rendront dans les régions tribales du sud ou dans la zone de dépression du Dallol au nord, il leur faudra y adjoindre la prise d'un traitement préventif : atovaquone-proguanil (Malarone ou un de ses génériques), doxycycline. La prise de méfloquine (Lariam) est réservée aux contre-indications ou aux intolérances aux autres traitements.
Malgré sa richesse culturelle, l’Ethiopie reste un des pays les plus pauvres de la planète. Une grande partie de la population vit toujours sous le seuil de pauvreté ce qui entraine une augmentation tant de la mendicité que du nombre de personnes vivant dans la rue, particulièrement à Addis-Abeba. Venir en aide à ces personnes en leur donnant directement de l’argent ne les aide malheureusement pas à améliorer leurs conditions et a plutôt tendance à les empirer. Aussi, si vous souhaitez venir en aide aux plus démunis, nous vous conseillons de passer par le biais d’une organisation locale plutôt qu’en leur donnant directement de l’argent, stylos, vêtements ou encore bonbons. A Addis-Abeba, les voyageurs peuvent acheter des « tickets-repas » auprès d’une structure appelée Hope Enterprises (située sur Churchill Road) et les distribuer ensuite aux personnes souhaitées. Hope Enterprises sert environ 200.000 repas par an.
Une autre manière de mendier, particulièrement dans les zones rurales est souvent appelée « frénésie des Highlands ». « Highland », au-delà de vouloir dire « haut plateau », est le nom de la première marque de bouteille d’eau minérale distribuée en Ethiopie. Avec le temps, ce mot est devenu le nom générique pour parler de bouteille en plastique, objet très convoité par la population. Ainsi, il est fréquent de voir des enfants courir derrière des voitures de touristes dans l’espoir qu’une bouteille en plastique leur soit lancée en chemin. Cette coutume entraine de terribles accidents. Pour cette raison, nous invitons les voyageurs à garder les bouteilles avec eux et les leur remettre dans la rue, à l’hôtel, dans le village mais pas depuis votre véhicule.
Pour vos achats :
Pendant vos pauses shopping, n'oubliez pas de marchander (sans exagération). Nous vous conseillons de commencer par diviser le prix annoncé par 2 ou 3 puis d'augmenter au fil de la discussion. La clé du succès ? Prendre son temps et discuter avec les commerçants. N'hésitez pas à consulter votre guide discrètement pour connaitre les bons prix (approximatifs). Attention, ne demandez pas conseil auprès de votre guide sous les yeux du commerçants ou des autres villageois, celui ci ne pourrait pas vous conseiller judicieusement.
Si vous devez acheter des produits d'usage (cigarettes, boissons, nouriiture...) sachez que généralement les prix affichés sont des prix fixes. Cependant, certains commerçants pourraient essayer de vous tromper sur les prix de ces produits du quotidien.
Pour vos balades :
Vous entrez sur des territoires où les traditions sont encore très ancrées. Veillez donc lors de vos balades et de vos excursions à adopter des tenues correctes et décentes.
Vous traversez des villages où les gens ne sont peut-être pas d'accord pour être "mitraillés" par des dizaines d'appareils photo chaque jour. Avant de prendre une photo, restez civilisé et demandez la permission. Nous traversons des villages centenaires aux traditions vivaces et la photo systématique des habitants est une attitude qui peut détruire tout essai d'échange ou de communication entre vous et vos hôtes. Lorsque sera établi un climat de confiance, demandez (faites-vous conseiller par votre accompagnateur) l’autorisation de filmer ou de photographier qui vous sera souvent généreusement accordée. Et enfin, ne photographiez jamais les enfants sans demander leur accord aux parents et aux enfants eux-mêmes. Si l’on vous refuse, alors n’insistez pas. Ne promettez d’envoyer des photos aux personnes que vous avez photographiées que si vous êtes sûr de pouvoir respecter votre engagement. Mais surtout prenez le temps de rencontrer… plus que de collectionner des portraits.
Attention : Nous vous invitons à être vigilant dans les villes face à une escroquerie répandue qui consiste à vous faire inviter par un groupe de gens (souvent des personnes se faisant passer pour des étudiants ou des guides) à une cérémonie du café ou à une petite réunion. Ils vous amènent dans une maison locale où ils vous servent le café, du tej ou à manger. Après en avoir « profité », ils vous apportent une note s’approchant souvent des 100USD par personne, parfois plus, et vous obligent à payer. Nous vous recommandons donc d’être vigilants et de refuser toute invitation de personnes dans la rue. Si vous souhaitez participer à une cérémonie du café, à un dîner traditionnel ou à un spectacle de danse, n'hésitez pas à demander conseil à votre guide qui vous conseillera avec plaisir.
Au sud-ouest du pays, les pluies tombent de mars à mai dans la vallée de l’Omo et de juin à octobre dans la région de Gambela, située le long de la frontière soudanaise. Dans cette zone tropicale au climat chaud et humide, les pluies rendent parfois l’accès aux pistes difficiles.
La tension est de 220 Volts. Les prises de courant sont aux normes européennes, avec deux entrées rondes. Toutefois, nous vous conseillons de prendre avec vous un adaptateur de prise étant donné que la taille des entrées ainsi que la distance entre chacune peut varier.
Des cartes sont disponibles dans la Librairie de Voyageurs du Monde située au 48 rue Sainte-Anne 75002 Paris.
Depuis 2019, nous nous efforçons d’appliquer les exigences des recommandations de la norme internationale NF ISO 20611 sur les bonnes pratiques en matière de durabilité dans le tourisme d’aventure. Ainsi, nous défendons et mettons en pratique, une vision du voyage durable et engagée, dans 5 domaines essentiels :
1/ Réduire notre empreinte carbone
Depuis 2018, 100% des émissions de CO2 de vos voyages sont absorbées. Et depuis 2020, les deux tiers de nos voyageurs en Europe continentale sont incités à partir en train plutôt qu’en avion ! En savoir plus…
2/ Améliorer la gestion des déchets
Sur nos voyages, bouteilles en plastique et couverts jetables sont bannis. Au sein de l'entreprise, tri des déchets, produits d'entretien écologiques, etc. En savoir plus…
3/ Protéger la faune
Depuis 2019, nous appliquons notre « Charte sur le respect de la vie animale » : ne pas perturber leur habitat, respecter une certaine distance, prendre soin des animaux de bât, etc. En savoir plus…
4/ Soutenir les populations locales
Nous appliquons depuis 2019 notre « Charte de l’accueil communautaire ». Nous soutenons financièrement des projets locaux de protection de l’enfance et d'aide au développement économique. En savoir plus…
5/ Favoriser l'accessibilité
Un tour opérateur d'aventure qui propose des voyages adaptés aux Personnes à Mobilité Réduite (hébergements, véhicules, étapes…) ? Mais oui, l'aventure ce n'est pas que le trek ! En savoir plus…
Et vous que pouvez-vous faire ?
Pour commencer, prendre connaissance et appliquer les 15 commandements du voyageur responsable avant, pendant et après le voyage.
Chacun de nous peut contribuer à être un voyageur responsable, attentif au monde et à ses habitants, en suivant quelques conseils avant, pendant et après le voyage.
- Avant le voyage
1- Choisissez des professionnels engagés dans le tourisme responsable
2- Vous informer, apprendre quelques mots dans la langue du pays…
3- N’emportez que l’essentiel et ramenez des souvenirs fabriqués localement
4- Gardez l’esprit critique
- Pendant le voyage
5- Adoptez les us et coutumes locaux
6- Avant de photographier une personne, prenez le temps de lui demander
7- Comme chez vous, triez les déchets et économisez les ressources
8- Préservez les sites visités
9- Préférez le don aux associations plutôt que la mendicité
10- Dénoncez l’exploitation sexuelle des enfants
- Après le voyage
11- Honorez vos engagements
12- Signalez les situations graves et intolérables remarquées
13- Compensez les émissions liées à votre voyage
14- Soutenez des initiatives locales
15- Partagez votre expérience
Prolongez votre aventure...
Pourquoi ne pas rester un peu plus longtemps, et rendre votre voyage encore plus inoubliable, en choisissant l’une de nos extensions ?
Randonnées (ou autres activités sportives) de 5 à 6h par jour en moyenne, avec dénivelés (si rando) de 500 à 800 m, sur terrain escarpé et parfois difficile. Très bonne condition physique requise.