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Départ de France à destination de la Bolivie. Vol de nuit pour Santa Cruz de la Sierra (arrivée le J2), puis connexion pour vol domestique direction Sucre. Accueil à l'aéroport et transfert à l’hôtel. Après-midi laissée libre pour s’acclimater et se remettre du décalage horaire. Dîner en soirée dans le centre ville.
Repas : Déjeuner & dîner libres
Partons à la découverte de Sucre, joyau colonial, connu comme la ville blanche de Bolivie. Savez-vous que c’est aussi la capitale constitutionnelle du pays?
Logée au cœur d’une vallée à seulement 2 700 m d’altitude, Sucre profite d'un agréable climat et il est doux de s’y balader, de contempler les façades et bâtiments historiques ou encore de déambuler dans ses parcs. Sucre compte également de nombreuses églises, que vous ne manquerez pas de dénicher au détour des ruelles. Réputée pour sa gastronomie et douceur de vivre, cette ville remplit le cœur de ses habitants, les Chuquisaqueños, de fierté.
Inscrite par l’Unesco au patrimoine de l’humanité; vous l’aurez compris, Sucre a beaucoup à offrir. Nous commençons par le Couvent de la Recoleta, magnifique ensemble de cloîtres fondé par l’ordre des Franciscains en 1601 qui offre, qui plus est, un superbe panorama sur la ville. En entrant dans la Casa de la Libertad, là où fut signé le traité d’indépendance en 1825, nous en apprenons un peu plus sur l’histoire de la Bolivie.
La région de Sucre est aussi reconnue pour la richesse de ses textiles traditionnels, qui mettent en lumière l’art indigène. Plongeons dans l’histoire des cultures locales en passant par le Musée de l’Art Indigène (ASUR). C’est un incontournable qui nous permet de percevoir le savoir-faire ancestral, que retracent les tissus, principalement les jalq’a.
Enfin, comment mieux terminer la journée qu’en appréciant le coucher du soleil depuis les toits du monastère San Felipe Nery, où là encore, la vue sur la ville est imprenable.
Repas : Déjeuner inclus & dîner libre
Nous quittons Sucre (2810 m alt.) en véhicule privé pour rejoindre Potosí (3900 m alt.), située à 160 km. Nous traversons le fleuve Pilcomayo par le pont Sucre, à l’architecture quelque peu anachronique. Ce fleuve sépare plus au sud l’Argentine et le Paraguay. Nous quittons les vallées du Chuquisaca et prenons de l’altitude pour monter jusqu’aux plateaux de Potosí, où nous arrivons après environ 3h de route.
Nous découvrons la ville impériale et la richesse architecturale des nombreux bâtiments historiques qui lui ont valu son inscription au patrimoine de l'UNESCO.
Commençons par un tour dans le Casco viejo, c’est-à-dire le vieux Potosi ou bien dans le quartier “Indigène” au pied du Cerro Rico.
Une visite de la Casa de la Moneda nous plonge dans l’époque coloniale et l’histoire de cette ville d’argent. Nous entrons dans une immense bâtisse au style colonial, où a été frappée la monnaie de la couronne espagnole jusqu’au XIXème siècle. Témoignage d’un passé prospère de la "Ville Impériale" où l'on trouva les plus importants gisements d'argent du Nouveau Monde, Potosi fut d’ailleurs le principal fournisseur d'argent d'Espagne.
Repas : Déjeuner & dîner inclus
Transfert : 2 heures (en minibus)
Aujourd’hui, nous plongeons dans l’histoire minière de Potosi, la “Ville Impériale".
Un premier arrêt au marché des mineurs, pour acheter feuilles de coca et alcool, indispensables pour les offrandes avant d’entrer à travailler dans les mines.
Puis direction les flancs du Cerro Rico; littéralement la "montagne riche", où nous rencontrons tout d’abord les épouses des mineurs, qui réalisent la sélection des minéraux à l’extérieur de la mine, un labeur d’une dureté comparable à celui de leurs maris. Exploitées depuis plusieurs siècles, les mines sont toujours actives aujourd'hui et représentent d'ailleurs la principale activité économique de la région de Potosi.
Nous rencontrons ensuite l’un des mineurs qui nous orientera à travers le dédale de tunnels, si nous voulons nous y aventurer. Un bleu de travail, une lanterne frontale et c’est sur les pas de notre guide que nous pénétrons dans le labyrinthe ténébreux du Cerro Rico. Une rencontre de rigueur, celle du “Tio”, redouté et respecté, gardien du Cerro et protecteur des mineurs. Nous nous glissons dans ces boyaux obscurs où résonne à intervalle régulier l’écho de la dynamite.
Une fois revenus à l’air libre nous redescendons vers le centre-ville. Nous faisons une halte au niveau des petites coopératives où nous verrons comment se vendent une partie des pierres et de l’argent extraits.
Départ de l´hôtel en véhicule privé. Nous traversons toute la Cordillère Frailes pour rejoindre Uyuni, petite ville perdue en bordure du salar.
En chemin, arrêt à Pulacayo, qui fût au XVII et XVIIIème siècle la deuxième mine d´argent la plus importante du continent.
Aujourd´hui, c'est un village pratiquement abandonné, où est cependant installé un musée retraçant sa splendeur passée. Arrivée à Uyuni en fin d´après midi.
Repas : Déjeuner & dîner inclus
Transfert : environ 3h30 (en minibus)
Nuit à l'hôtel Hotel Samay Wasi**.
Nous partons aujourd’hui à la découverte du plus grand désert de sel du monde !
Nous quittons l’hôtel à 09h en 4x4 privé pour rejoindre le salar d’Uyuni (3650 m alt.). Après environ une demi-heure de route, nous faisons un arrêt à Colchani pour visiter une exploitation de sel et l’unique hôtel de sel construit sur la surface du salar (fermé depuis 2001).
Nous roulons ensuite environ une heure trente (73 km) sur cette immense étendue blanche pour atteindre l’île d’Incahuasi. Cette surprenante île d’origine volcanique, perdue en plein cœur du salar, offre un point de vue imprenable sur le désert de sel et les volcans environnants. Elle est recouverte de stromatolithes et de cactus géants (les stromatolithes sont des colonies bactériennes fossilisées, premières traces de vie sur Terre).
L’après-midi, nous roulons encore pendant 34 km (une demi-heure) jusqu’à l’extrémité sud du salar.
De là, 55 km de piste nous mènent au village de San Juan (3600 m alt.), où se trouvent de spectaculaires momies des "seigneurs des Lipez" (1200 après J.C) et un intéressant petit musée.
Repas : Déjeuner & dîner inclus
Transferts : environ 4h30 (en 4x4)
Nuit Hostal Los Lipez, confort sommaire (absence de chauffage et d´eau chaude).
Nous commençons aujourd’hui notre traversée du Sud Lipez, région de haute altitude connue pour ses vastes étendues désertiques, ses lagunes colorées, ses salars, ses formations rocheuses et ses volcans. A la sortie de San Juan, nous traversons tout d’abord le petit salar de Chiguana (3650 m alt.), aux pieds du volcan Tomasamil (5900 m alt.).
Puis, la piste grimpe jusqu’à environ 4200 mètres d’altitude et nous nous arrêtons au mirador du volcan Ollagüe (5868 m alt.). Ce volcan toujours actif abrite l’une des mines de soufre les plus hautes du monde. Nous longeons ensuite la frontière chilienne vers le sud, en empruntant la célèbre "route des joyaux" qui borde les lagunes Cañapa, Hedionda, Ch’arkota et Honda, sanctuaires de trois variétés de flamants roses. La piste se poursuit à travers les superbes paysages du désert de Siloli (4700 m alt.) et nous découvrons son fameux "arbre de pierre".
Après avoir parcouru environ 230 km, nous arrivons en fin d’après-midi à la Laguna Colorada (4278 m alt.), au bord de laquelle nous passerons la nuit. Cette lagune tient son intense coloration rouge-brique de la présence de phytoplancton qui réagit à la lumière du soleil et attire une partie de l’année des colonies de flamands roses.
Repas : Déjeuner & dîner inclus
Transferts : environ 5 heures (en 4x4)
Nuit à l'auberge Latitudes (confort sommaire : absence de chauffage et d´eau chaude).
Nous partons ce matin découvrir les geysers Sol de Mañana (4850 m alt.), un cratère volcanique qui crache des effusions de vapeurs de soufre et d’eaux lourdes. Nous continuons ensuite jusqu’aux thermes de Polques.
Préparez-vous à une expérience surprenante : un bain chaud dans une eau à 30°C, à près de 4200 m d’altitude, au milieu d’un désert glacé et d’un paysage spectaculaire. C’est donc réchauffés que nous remontons dans les 4x4 pour longer la Laguna Salada et traverser le désert de Dali (4750 m alt.). Le fort vent qui souffle ici a forgé de surprenantes formations rocheuses qui rappellent les tableaux du maître espagnol. Nous parvenons en fin de matinée à Laguna Blanca et à la Laguna Verde (4350 m alt.), situées au pied des volcans Juriques et Licancabur (5704 et 5960 m alt.). Après avoir parcouru une centaine de kilomètres, nous sommes ici à l’extrême sud de la Bolivie, tout près de la frontière chilienne.
Nous retournons ensuite à la Laguna Colorada (à 90 km) avant de remonter plein nord pendant 65 km jusqu’au village de Villamar (4022 m alt.), où nous passons la nuit.
Repas : Déjeuner et dîner inclus
Transferts : 5 heures (en 4x4)
Nuit à l´auberge Las Piedritas (confort sommaire).
Nous partons dans la matinée vers Uyuni (5 à 6 heures de piste, 257 km). Ouvrez l’œil : nous traversons la région de Rio Grande et la "vallée des roches" qui abritent beaucoup de vigognes et de nandous (cousins de l’autruche).
En chemin, nous nous arrêterons dans le village de San Cristobal, connu pour sa riche église coloniale, que nous pourrons visiter si nous avons de la chance car elle n’est pas toujours ouverte ; et dans l’urbanisation modèle de Culpina K. Dans ce "village magique", les habitants se sont organisés pour vivre de la culture du quinoa et du tourisme et assurer ainsi à leurs enfants un futur loin du travail dans les mines.
Avant de rejoindre notre hôtel à Uyuni (3650 m alt.), nous visitons le cimetière des trains à l’entrée de la ville : une ribambelle de locomotives rouillées posées au milieu du désert témoigne du glorieux passé minier de la région.
Notre chauffeur nous amène au terminal de bus de Uyuni.
Nous prenons un bus de nuit en direction de La Paz. Première classe, sièges inclinables, petit en-cas, plus confortable qu’un avion et moins d’émission de CO2 !
Repas : Déjeuner & dîner inclus
Transferts : 3 heures + bus de ligne 10 heures
Notre chauffeur vient nous chercher à la gare routière.
Un petit-déjeuner et notre chambre d'hôtel nous attendent à notre arrivée.
Après un peu de repos, nous descendons en zone sud, loin de l’agitation frénétique du centre-ville, pour une promenade d’un autre monde, au cœur d’un paysage lunaire. En entrant dans la vallée de la Lune; ainsi nommée pour la similitude de ses formations géologiques singulières avec notre satellite, nous découvrons un véritable labyrinthe de canyons et d’aiguilles rocheuses effilées. La pluie, le vent et le soleil ont depuis des millénaires creusé et grignoté les rocs, érigeant des formations surprenantes.
L’atmosphère qui s’y dégage, certes peut-être un peu folklorique du fait de sa popularité touristique, est cependant particulière. L’on raconte d’ailleurs que des fantômes errent dans les sombres abîmes de la vallée… C'est du moins ce que racontent les musiciens habitués à jouer de leur quena, la flûte andine de bois, et que vous croiserez au détour des sentiers de la vallée.
Repas : Déjeuner & dîner libres.
Nuit à l'Hôtel Naira.
Nous quittons La Paz et roulons 1h30 environ pour nous rendre sur le site archéologique de Tiwanaku où nous découvrons les vestiges précolombiens qui comptent parmi les plus importants du continent. Inscrit sur la liste du Patrimoine mondial de l'UNESCO, Tiwanaku est reconnu comme ayant été un centre spirituel et politique extrêmement influent, notamment entre 500 et 900 ap. J.C. Les constructions ont été réalisées en fonction des points cardinaux, et les pierres ont été sculptées avec des techniques extrêmement complexes. La configuration architecturale de cette cité nous laisse deviner l'importance de la religion et de la spiritualité pour les habitants de Tiwanaku.
Nous longeons ensuite le lac Titicaca où nous profitons d'une vue splendide sur la Cordillère Royale jusqu’à Copacabana. En fin de journée, nous pouvons suivre le chemin de croix pour admirer un magnifique coucher du soleil sur le lac.
Repas : Déjeuner & dîner inclus
Transferts : environ 3h30 (véhicule privé)
Nuit à l'hôtel Lago Azul *** ou équivalent.
Un bateau nous emmène vers l'île du soleil (1h30 minutes). Située sur le plus haut lac navigable au monde, cette île est des plus paisibles. Et pour cause, vous n'y verrez aucun véhicule motorisé ! Ici, on transporte les bagages et autres charges lourdes à dos de mule, et l'on se déplace à pied.
Nous débarquons au nord de l'île, sur le site archéologique de Chinkana, ou labyrinthe en langue aymara, lieu vénéré des Incas et qui marque l’endroit où, selon la légende, le dieu Viracocha fît naître son fils Manco Capac, premier Inca et Mama Ocilo, sa compagne.
Notre bateau nous ramène ensuite à Yumani, village au sud de l'île et nous profitons d'un panorama incroyable ! D'ici, nous pouvons voir la Cordillère Royale se dresser devant nous : nous sommes entourés par l'Ancohuma, l'Illampu et par d'autres sommets de 6000 m.
Repas : Déjeuner (panier pic-nic) & dîner inclus
Nuit à l'hôtel Jacha Inti.
Depuis le village de Yumani, nous descendons vers la plage Japari où nous prenons place sur notre catamaran à voile !
Construits par des jeunes de la communauté de Santiago de Huata, ils sont le résultat d'un projet de coopération et de développement inauguré par le Père italien Leonardo Gianelli, responsable de la fondation Manos Abiertas.
Il est installé en Bolivie depuis une dizaine d'années dans le village de Chuquiñapi. La fondation cherche à développer la communauté d´un point de vue éducatif et économique et notamment via le tourisme, pour offrir aux jeunes de ces communautés rurales un travail.
Nous partons pour une traversée du lac Titicaca en catamaran d´une durée de 5 à 6 h environ (selon le vent). Nous pouvons admirer la Cordillère Royale et l'île de la Lune. Nous arrivons à Chuquiñapi, un petit village au calme, loin des foules.
Nous partons en direction du cœur de la Cordillère, jusqu'à Tuni.
Repas : Déjeuner & dîner inclus
Nuit au refuge Ecolodge Tuni.
Nous passons deux jours accueillis par la famille Quispe. Jaime et Marisol nous reçoivent chez eux à Tuni, un hameau aymara à 4400m d’altitude, habité par une dizaine de familles.
Les traditions ancestrales aymaras y sont encore très présentes, et la communauté de Tuni s’engage à les faire perdurer et les partager. Pas de mise en scène, de déguisements, les Quispe nous ouvrent leurs portes et nous laissent vivre pour quelques jours avec eux, en toute simplicité, avec la Pachamama au centre des croyances et offrandes.
Pas besoin d'être bilingue en espagnol, quelques mot suffiront, et puis c'est là aussi tout l'intérêt de partager avec les habitants : apprendre à communiquer différemment en prenant le temps d'observer davantage, de ralentir le rythme pour une immersion complète dans le quotidien des familles - d'autant plus que dans les zones rurales des Andes, on parle aymara plus qu'espagnol; l'occasion donc de se faire l'oreille et pourquoi pas d’apprendre un peu de vocabulaire de cette langue ancestrale!
Et qui sait, vous croiserez peut-être un membre de la famille Quispe qui parle français.
Repas : Déjeuner & dîner inclus
Nuit dans chez l'habitant, type auberge-ecolodge.
Nous nous laissons vivre au rythme de la Cordillère. Nous suivons Vicky à l'école du village, pourquoi ne pas s’essayer à un cours de langue aymara. La transmission des traditions ancestrales passe aussi par l’enseignement de cette langue encore parlée dans les villages.
Nous nous proposons ensuite comme commis de cuisine avec Denys et Marisol. La spécialité ici est la Huatia, où l’on creuse un trou pour cuire le plat dans la terre. Un des aliments phares est le chuño, une pomme de terre déshydratée. Sur l’Altiplano, les sols et le climat ne permettent à certaines communautés de pratiquer qu’une récolte de pommes de terre par an. Comme méthode de conservation, les Andins mettent en place durant les mois les plus froids, un procédé de déshydratation pour extraire l’amidon des pommes de terre. Le goût est… particulier, mais la méthode est ingénieuse et on ferait bien d’en apprendre la technique.
Nous participons aux différentes tâches en fonction de la saison et des besoins : fabrication de matelas en paille qui seront vendus dans les environs, récolte des excréments d’animaux pour le combustible dans les maisons.
La tonte des lamas est une vraie épreuve, un peu musclée, dont le premier challenge est d’immobiliser l’animal. Avec la laine filée, nous pourrons apprendre le tissage et la confection de vêtements chauds très appréciables en montagne.
Nous prenons la route en direction de La Paz.
Il faut compter environ 2h30 de route en transport privé, et un peu plus peut-être car il nous faut traverser l'immense et chatotique ville de El Alto, où le traffic peut parfois être assez dense.
Nous retrouvons notre guide "lustrabotas" à la station centrale du téléphérique. Les lustrabotas sont des cireurs de chaussures, qui arpentent les rues pour gagner leur vie. L'association Hormigón Armado mène le projet pour mettre en avant ces gardiens de la ville, et les inciter à partager leurs secrets du La Paz populaire.
Nous visitons le cimetière général, coloré de fleurs et peintures murales. Un lieu de recueillement, mais surtout de célébration pour les familles des défunts. Nous passons par les différentes rues alentours, transformées en marché géant, de la rue des poissons, à celle des chapeaux artisanaux, en passant par les plantes médicinales et les quincailleries en tout genre. Nous sommes introduits par notre guide local auprès des différents marchands et "caseritas". L'espace de quelques heures, nous plongeons dans la réalité populaire paceña, un moment d'échange riche et authentique.
*El Hormigón Armado travaille depuis 2005 avec les enfants et les jeunes qui travaillent et vivent dans la rue à La Paz, en Bolivie, en particulier sur les cireurs de chaussures, une population particulièrement marginalisée. Faisant partie de l'économie informelle, l'activité n'est pas protégée par le droit du travail, beaucoup sont mineurs, ont un faible niveau d'éducation et vivent dans la pauvreté. El Hormigón Armado s'efforce de défendre et de mettre en évidence la dignité du métier de cireur de chaussures.
Repas : Déjeuner inclus & dîner libre
Transferts : environ 2 heures
Nuit à l'Hôtel Naira.
Transfert à l'aéroport de La Paz pour votre vol transatlantique vers la France. Vol de nuit et arrivée le lendemain J17.
Repas : Déjeuner & dîner libres.
Note : Vol non accompagné.
N.B. :
Le programme est donné à titre indicatif. Il peut être modifié pour des raisons météorologiques ou tout autre événement inattendu. Sur place, le guide local, seul juge de la situation, fera le max pour atténuer les effets de ces événements.
Activités optionnelles
Les tarifs indiqués sont valables pour des départs de Paris. Un supplément de 99 € est demandé pour des départs de Bordeaux, Lyon, Marseille, Montpellier, Nantes, Nice ou Toulouse. Ces tarifs sont indiqués pour certaines classes de réservation sur les compagnies aériennes qui desservent cette destination. Ils sont donc susceptibles d'être modifiés en cas d'indisponibilité de places dans ces classes au moment de la réservation.
Prix du voyage sans transfert aérien : à partir de 3779€
Vous souhaitez ajouter ou privatiser une date de départ afin de la réserver à vos proches, vos amis, votre association, votre CE : décrivez-nous votre projet !
Voyage de niveau tranquille avec de nombreuses visites et des marches faciles : 1 à 4 heures maximum par jour, sans dénivelé significatif. Accessible à toute personne en bonne condition physique.
Quelques week-ends de mise en jambe sont toutefois conseillés. Etre en bonne santé est essentiel pour profiter pleinement de votre voyage. Si votre dernière visite médicale date quelque peu, c’est l’occasion d’effectuer un bilan de santé en expliquant à votre médecin les principales caractéristiques de votre voyage (climat, altitude, difficulté…)
Vous allez entreprendre un voyage lointain à de hautes altitudes. L’itinéraire prévoit une acclimatation progressive au fil du voyage puisqu'il débute dans l’oriente, avec la ville de Sucre située à 2780 mètres d’altitude, point le plus bas de votre parcours. Les premières marches seront, malgré ce, les plus fatigantes. Gardez à l’esprit de ne pas forcer : avancez doucement, suivez les conseils de votre guide et dans tous les cas buvez beaucoup (mais pas d'alcool les premiers jours !).
Le Mal Aigu Des Montagnes peut toucher presque toutes les personnes allant en haute altitude. En dessous de 3000 m, il est très rare qu'une personne souffre de ce mal. Il apparaît le plus souvent à partir de 3500 m. Le "mal aigu des montagnes" est dû à un défaut d'oxygénation du cerveau consécutif à une mauvaise acclimatation. Une montée progressive en altitude évite généralement le mal des montagnes. Toutefois, les symptômes sont propres à chaque individu et peuvent vous atteindre à tout moment.
Le "mal aigu des montagnes" peut avoir des conséquences mineures, qui ne sont toutefois pas à négliger. Les signes bénins apparents sont des maux de têtes, une respiration raccourcie, des insomnies, de la fatigue, la nausée et la perte d’appétit. N’hésitez pas à le signaler à votre guide qui vous aidera et sollicitera une assistance si besoin ou les services de l'Iffremont (pensez a vous enregistrer avant le départ).
Dans la plupart des cas, ces symptômes disparaissent au bout de quelques heures ou quelques jours si l’on observe des règles simples : éviter les efforts inutiles, marcher lentement, respirer doucement à plein poumons, boire beaucoup. Dès que vous vous essoufflez, arrêtez-vous et reprenez votre souffle ; Les battements de votre cœur redevenus normaux, vous pouvez continuer.
Pendant le voyage, forcez-vous à boire beaucoup et prévenez le guide de votre état de santé, même en cas de troubles légers !
Nous limitons nos groupes pour mieux se fondre dans l'ambiance locale et dans la nature.
Selon les dates de départ, le minimum requis varie de 3 à 5 personnes. La capacité maximale du groupe est de 10 à 12 personnes : celle-ci peut être dépassée si les derniers voyageurs s'inscrivent en couple.
Vous pouvez choisir, lors de votre réservation, de demander à bénéficier d’une chambre individuelle, en supplément à partir de 156€, selon les dates et disponibilités.
La plupart des repas prévus sont pris au restaurant ou dans des cantines locales, repérés par le guide en amont de votre voyage. Ces repas vous permettront de connaître toutes les spécificités de la cuisine locale.
Certains déjeuners seront pris sous forme de pique nique, notamment pendant les randonnées. Ils sont préparés, par votre accompagnateur ou une cuisinière, et élaborés avec des produits locaux. Tout le matériel de cuisine est fourni (assiettes, couverts…) Notez que les produits frais manquent parfois aux repas, en raison de l'isolement de certaines régions parcourues.
L'eau dans les restaurants (bien que payante) sera fournie, pour les repas inclus au programme.
Pour le reste de l'aventure, nous pourrons nous approvisionner en eau tout au long du trajet.
Notez que nous mettons en place dès 2024, pour tous nos voyages en Bolivie (ou presque, 90% ok), des bidons d'eau potable dans les véhicules pour y remplir vos gourdes.
Pour les quelques repas laissés libres, vous trouverez à chaque fois un large choix de restauration et votre guide pourra vous conseiller.
Il est important de nous signaler tout régime particulier ou allergie alimentaire au moment de votre inscription afin de pouvoir organiser vos repas en conséquence sur place.
Pour plus de fluidité et de convivialité vous n'aurez qu'un seul et même guide durant toute votre aventure... Depuis votre arrivée à Sucre jusqu’à votre départ de La Paz.
Il a en charge la réussite de votre voyage, donc n’hésitez pas à lui poser des questions et, surtout, à suivre ses conseils.
Sur certaines étapes, il sera secondé par différents guides locaux (souvent seulement hispanophones): Potosi pour les mines, site archéologique de la Isla del Sol (guide pas toujours disponible toutefois), communauté de Tuni, guide local "lustrabotas" à La Paz.
Les transferts se font tantôt en véhicules privés, tantôt en transports locaux.
Lors du parcours dans le désert du Lipez, nous priorisons la sécurité et l’espace. Tous les 4x4 sont donc révisés avant le départ et embarquent au maximum 5 passagers (en plus du chauffeur).
Deux longs trajets, dont un de nuit d’Uyuni à La Paz, sont prévus en bus publics « tout confort, avec siège inclinable ». Nous sélectionnons les meilleures compagnies pour ces trajets et ils nous permettent d’optimiser votre itinéraire.
Notez que la distance parcourue sur ce voyage est immense. Certains longs trajets sont inévitables pour réaliser cet itinéraire en 2 semaines. Par ailleurs, selon les conditions météorologiques dans le désert du Lipez, les pistes peuvent être chaotiques et rendre certains trajets inconfortables.
Lors des transferts en véhicule privé, vos bagages sont installés sur le toit des véhicules et sont protégés par une bâche. Nous vous recommandons donc d’emporter un sac souple (plutôt qu’une valise) ainsi qu’un second sac, plus petit, dans lequel vous glisserez vos affaires pour la journée.
Les conditions climatiques peuvent être difficiles : vous pouvez avoir en quelques jours, voire dans le même journée, neige, vent, pluie et surtout un ciel bleu éclairé par un immense soleil dont il faut aussi se protéger en raison de sa proximité à haute altitude ! Il est donc indispensable d'avoir un équipement adéquat, en toutes circonstances : polaire, lunette de soleil, kway…
Vous volerez sur des compagnies régulières : Iberia, Air France / KLM, Air Europa.
Nous sélectionnons systématiquement des compagnies agréées par la direction générale de l’Aviation civile ou répondant aux normes et agréments internationaux. Sont totalement exclues les compagnies aériennes figurant sur les listes noires de l’Aviation civile.
Veillez à nous communiquer impérativement dès l’inscription les noms et prénoms figurant sur votre passeport, ainsi que votre date de naissance (et non pas votre prénom d’usage ou nom d’épouse si votre passeport ne les mentionnent pas). En cas d’erreur, vous ne pourriez pas embarquer et des frais pourraient être appliqués par la compagnie.
Avant votre départ, nous vous recommandons de vous enregistrer en ligne sur le site de la compagnie aérienne, lorsque ce service est disponible, pour faire face à la grande fréquentation des aéroports. Cela minimisera votre temps d’attente, puisqu’une fois arrivé à l’aéroport, vous n’aurez qu’à rejoindre une borne pour imprimer votre carte d’embarquement, ou vous rendre directement au dépôt des bagages si vous l’avez déjà imprimée.
Vous pourrez ainsi souscrire directement aux services proposés par la compagnie, notamment celui de choisir votre emplacement dans l’avion.
Pour vous enregistrer, rendez-vous sur le site web de la compagnie aérienne, muni de votre « E-ticket », sur lequel figure votre numéro de réservation, nécessaire pour l’enregistrement. Vous pouvez prendre contact avec votre conseiller pour de plus amples informations.
La réussite de tout voyage est un délicat mélange de bonne humeur, de sentiments d'entraide et de convivialité, d'esprit de découverte, de bonne volonté, d'une participation aux tâches communes ainsi que le respect des traditions locales.
Prix du voyage sans transfert aérien : à partir de 3779€
Afin de tenir compte des contraintes imposées par nos prestataires pour votre voyage, et conformément à nos conditions de vente, en cas d’annulation de votre part avant le commencement du voyage, nous vous appliquerons des frais d’annulation basés sur nos frais réels justifiés à la date de votre annulation.
En Bolivie on utilise le Boliviano. Vous pouvez emportez des US Dollar$ ou des €uros ainsi qu’une carte de Crédit (retraits possibles à La Paz et Sucre). Les traveller's chèques sont très difficiles à changer.
Entrées des parcs, sites historiques et musées :
Le montant total de ces entrées est inclus dans le prix TTC de votre voyage. En effet, pour que votre voyage soit le plus agréable possible, nous préférons directement intégrer ces prestations. Ces entrées seront donc indiquées sur votre facture et pourront être réajustées jusqu’à 30 jours avant votre départ, dans le seul cas d’une augmentation de leurs montants par les autorités locales.
Le versement d’un pourboire ou d’une gratification reste soumis à votre libre appréciation. Sachez néanmoins que ces gratifications sont très appréciées des équipes locales, qui y voient un signe de remerciement pour un travail bien accompli. Aussi, nous vous recommandons un montant autour de 4 à 5 USD par jour et par participant pour votre guide principal, la moitié pour un chauffeur ou un cuisinier.
Vêtements: une veste type Gore-tex, avec renfort polaire, imperméable et résistante au vent, pull-over, sous-vêtements longs et chauds (type Damart), chemises de laine, pantalons de trekking ou en toile résistante, gants, bonnets et quelques vêtements adaptés aux températures chaudes ainsi qu'un maillot de bain pour se baigner dans les sources chaudes.
Chaussures : pour les randonnées, prenez des chaussures qui sont déjà faites à vos pieds. Préférez des chaussures de randonnée de moyenne ou haute montagne. Pensez à emporter une autre paire pour vous détendre en ville ou le soir.
Nomade Aventure a commencé d’équiper ses équipes locales avec des vêtements en textile thermorégulateur Cold Winner ® de notre partenaire Akammak. Fabriqués en France, dans un cadre social respectueux des normes et de nos valeurs, ils sont confortables, solides et esthétiques. Si vous voulez vous en équiper vous-même, rendez-vous sur www.akammak.fr
Passeport valide au moins 6 mois après la date de retour.
Afin de parer à toute éventualité, on veillera à disposer d’un passeport comportant le nombre de pages vierges requis ou suffisant (généralement 3, dont 2 en vis-à-vis).
Passeport d’urgence. Ce document n’étant pas accepté partout, il faudra s’assurer, avant d’en faire la demande éventuelle, qu’il est reconnu par le pays concerné par le voyage ; on vérifiera également s’il implique une demande de visa (ce qui peut être le cas même pour des pays où on en est dispensé avec un passeport ordinaire).
Si vous voyagez avec vos enfants, sachez que, dorénavant, les mineurs, quel que soit leur âge, doivent eux aussi avoir un passeport individuel. La législation française stipule que les mineurs voyageant avec leurs deux parents, ou un seul des deux, n'ont pas besoin d'être en possession d'une autorisation de sortie du territoire. En revanche, ce document est obligatoire (depuis le 15 janvier 2017) si cette condition d'accompagnement n'est pas remplie. Dans ce dernier cas, l'enfant devra présenter : passeport (ou carte d'identité, selon les exigences du pays de destination) ; le formulaire d’autorisation de sortie du territoire, signé par l'un des parents titulaires de l'autorité parentale (le formulaire d’autorisation de sortie du territoire est accessible sur le site www.service-public.fr) ; une photocopie du titre d'identité du parent signataire.
Lorsqu’un mineur voyage avec l’un de ses parents dont il ne porte pas le nom, il est fortement conseillé soit de pouvoir prouver la filiation (https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F15392), soit de présenter une autorisation de sortie du territoire (formulaire Cerfa n° 15646*01) dûment remplie et signée par l’autre parent avec copie de sa pièce d’identité. Cette autorisation ne dispense pas de l’accomplissement de toute autre formalité spécifique à la destination concernant les mineurs.
Permis de conduire : pour éviter tout désagrément, il peut-être utile, même pour les pays extra-européens reconnaissant officiellement sur leur territoire la validité du permis français, de se procurer également un permis de conduire international ou, à défaut, une traduction assermentée du permis français.
Si votre voyage implique que vous transitiez par les Etats-Unis :
DOCUMENTS. Pour entrer sans visa, tout voyageur français, belge ou suisse (cela concerne aussi les enfants quel que soit leur âge) se rendant, par air ou par mer, aux Etats-Unis (ou y transitant) pour un voyage touristique ne dépassant pas 90 jours, doit être en possession d´un passeport individuel portant sur la couverture le symbole « puce électronique ». A partir du 15 janvier 2017, l'autorisation de sortie du territoire est rétablie pour les mineurs français voyageant sans au moins l'un de leurs parents.
ESTA. Tous les voyageurs français, belges ou suisses se rendant, par air ou par mer, aux Etats-Unis (ou y transitant) pour un voyage touristique, devront être en possession, avant d’embarquer, d´une autorisation électronique d´ESTA (Système électronique d´autorisation de voyage). Le formulaire ESTA devra être imprimé, avec la mention « autorisation accordée » et présenté à l’enregistrement. Ce document, simple autorisation d’embarquement, n´est pas une garantie d´admission sur le territoire des USA. Une fois accordée, cette autorisation est valable pour une ou plusieurs entrées et ce pendant deux ans (ou jusqu’à expiration de la validité du passeport du demandeur).
Les formulaires en ligne sont accessibles sur le site : https://esta.cbp.dhs.gov/ (la demande doit être faite au plus tard 72 heures avant le départ). L’autorisation d’ESTA est payante : 21 dollars US (tarif mai 2022), à régler par carte bancaire au moment de la demande.
RESTRICTIONS A L'EXEMPTION DE VISA. Il est à noter que les voyageurs ayant effectué un séjour en Iran (mais aussi en Irak, en Syrie, en Libye, en Somalie, au Yémen, au Soudan ou en Corée du Nord) depuis le 1er mars 2011, ou à Cuba depuis le 12 janvier 2021, devront, s'ils souhaitent se rendre aux Etats-Unis ou y transiter, faire en personne une demande de visa auprès du consulat américain, et ce même s'ils sont citoyens d'un pays relevant du Programme d'exemption de visa. Cette mesure s'applique également aux binationaux dont l'une des nationalités est iranienne, irakienne, syrienne, libyenne, somalienne, yéménite, soudanaise, nord-coréenne ou cubaine.
APPAREILS ELECTRONIQUES. De nouvelles mesures de sécurité sont entrées en vigueur dans les aéroports : les appareils électroniques (smartphones, tablettes, portables…) doivent être chargés et en état de fonctionnement pour tous les vols allant ou passant par les Etats-Unis et Londres. Les agents de contrôle doivent pouvoir les allumer. Par précaution, ayez votre chargeur à portée de main. Si votre appareil est déchargé ou défectueux, il sera confisqué. Cette mesure étant susceptible d’être étendue à d’autres aéroports, nous vous conseillons de charger vos appareils électroniques avant le vol quelle que soit votre destination.
Pas de visa pour les ressortissants français (moins de 90 jours sur place). Pour les autres nationalités, nous sommes à votre disposition pour vous accompagner dans vos démarches.
Attention ! Tous les voyageurs doivent impérativement remplir, à l'entrée et à la sortie, par air ou voie terrestre, le formulaire de douane 250, disponible sur le site http://anbsw01.aduana.gob.bo:7401/viajero/Publico250.jsp
Même si la vaccination contre la fièvre jaune n'est pas (encore) obligatoire pour les voyageurs arrivant directement d'Europe ou des Etats-Unis, la multiplication des foyers de la maladie dans de nombreuses régions du pays et des pays voisins, et pas seulement dans les régions amazoniennes, justifie, dès maintenant, de la recommander à tous, hors rares contre-indications décidées par le Centre de vaccinations internationales.
Sa validité est maintenant prolongée « à vie » (mention qui doit être notée sur le carnet international, quelle qu'ait été la date de la vaccination). Elle peut, en outre, être exigée à la sortie du pays, pour les voyageurs prolongeant leur périple dans les autres pays d'Amérique du Sud, d'Amérique centrale et de toute la zone Caraïbe.
Comme toujours et partout, il est important d'être immunisé contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche et la poliomyélite, les hépatites A et B et, selon les conditions de voyage la typhoïde et la rage.
Il est présent toute l'année mais seulement dans l'Amazonie bolivienne. Le voyageur devra adopter des mesures de protection, d'abord individuelles, qui le protégeront aussi contre d'autres insectes, vecteurs d'autres maladies (fièvre jaune, dengue, virus Zika) : répulsifs cutanés et vestimentaires actifs, port de vêtements couvrants, moustiquaires imprégnées. La prévention médicamenteuse est recommandée : elle sera assurée par la prise d'Atovaquone-Proguanil (Malarone ou un de ses génériques) ou de Doxycycline (compte tenu du risque d'effets indésirables, la prescription de méfloquine (Lariam) ne sera proposée aux voyageurs qu'en cas de bonne tolérance lors de voyages antérieurs ou de contre-indication aux autres médicaments actifs) ; elle n'est pas nécessaire dans le reste de la Bolivie, ni à La Paz, ni sur les hauts plateaux andins (il faut cependant signaler les récents cas de paludisme dans un village andin situé à 2300 mètres).
Ce voyage fait partie de ceux que nous qualifions de voyage en milieu isolé ou de voyage en altitude.
Pour vous permettre de vivre cette expérience en toute sécurité, nous avons mis en place un partenariat avec l’Ifremmont, l’institut de formation et de recherche en médecine de haute montagne, basé à Chamonix.
Durant votre voyage, vous pourrez donc bénéficier d’un service médical d’urgence. Ce service vous permet d’avoir accès par téléphone 24h/24 et 7j/7 à un médecin spécialiste de l’altitude et des conditions isolées. En cas de problème médical, vous serez mis en relation par votre guide avec l’un des médecins.
Vous avez également la possibilité de réaliser une téléconsultation avant départ. Celle-ci est optionnelle et son coût est de 70€. En cas de doute sur une pathologie particulière qui vous concerne, nous vous recommandons vivement d’avoir recours à cette téléconsultation. Elle vous permettra de faire le point avec des médecins spécialistes de l’altitude. Vous partirez donc rassuré et avec des consignes claires.
Il est important de préciser que le service médical d’urgence ne remplace pas une assurance rapatriement. Il s’agit d’un service de téléconsultation médicale qui permet de poser un premier diagnostic.
Soucieux d’assurer toujours plus votre sécurité lors de nos voyages, nous avons souhaité intégrer ce service de manière totalement gratuite pour nos clients.
Dans certaines communautés éloignées, souvenez-vous que la langue maternelle des autochtones n'est évidemment pas l'espagnol, mais l'aymara ou le quechua. Merci donc de votre patience et votre compréhension à l'égard de vos guides locaux qui vous accompagneront sur quelques étapes (en plus de votre accompagnateur francophone).
Vous pouvez emporter des elements traditionnels de votre région ou de votre culture pour les partager avec vos hôtes. Mais il est inutile d’emporter des cadeaux, notamment pour les enfants rencontrés au fil du séjour. Ces pratiques ont tendance a développer la mendicité et dénaturer les relations entre les locaux et les étrangers. Il reste possible de faire des dons de jouets, de vêtements ou de médicaments auprès d’associations, de dispensaires ou même d’écoles, des lors que la démarche est structurée et encadrée.
Attention à ne pas les appeler "Indio" qui est péjoratif pour les andins. Vous serez peut être étonnés par les inégalités qui règnent entre les ethnies et les peuples, selon qu'ils soient descendants des Espagnols, métis, « indigenos » ou descendants d'esclaves.
Le contact avec les "indigenos" peut parfois s'avérer délicat. Ceux-ci peuvent vous paraître indifférents, ce qui est tout à fait compréhensible. Vous devez donc prendre votre temps pour vous intégrer parmi la population et comprendre l'âme des natifs.
La Bolivie est réputée pour son environnement social instable. Il est fréquent que la population bolivienne exprime son mécontentement par des blocages de route ou de gares. Cela ne présente aucun danger pour le voyageur mais peut perturber certaines étapes de votre voyage. Si ces cas se présentent, votre accompagnateur adaptera votre itinéraires en fonction de ces contraintes.
La Bolivie a un climat très varié et les conditions météo changent en fonction de l'altitude. En règle générale, la nuit, il fait toujours froid sur la cordillère des Andes et ce, même s'il fait 25° pendant la journée. Les températures descendent facilement jusqu'à -20° sur l'Altiplano. Le versant amazonien jouït d’un climat plus doux.
La Bolivie étant dans l’hémisphère sud : juillet et août sont au cœur de l'hiver. Malgré ce, la meilleure période pour le voyage s'étend d'avril à mi-novembre. En dépit des nuits froides et du vent sur l'Altiplano, le ciel est toujours dégagé à cette période. De Décembre à Février, les précipitations y sont plus marquées, si bien que le salar d’Uyuni peut être inondé, et alors impraticable.
En été = -6H / En hiver = -5H (Par rapport à la France )
Type A (USA - 2 fiches plates) ou C (France - 2 fiches rondes) - Voltage : 110/220V - Fréquence : 50Hz
Depuis 2019, nous nous efforçons d’appliquer les exigences des recommandations de la norme internationale NF ISO 20611 sur les bonnes pratiques en matière de durabilité dans le tourisme d’aventure. Ainsi, nous défendons et mettons en pratique, une vision du voyage durable et engagée, dans 5 domaines essentiels :
1/ Réduire notre empreinte carbone
Depuis 2018, 100% des émissions de CO2 de vos voyages sont absorbées. Et depuis 2020, les deux tiers de nos voyageurs en Europe continentale sont incités à partir en train plutôt qu’en avion ! En savoir plus…
2/ Améliorer la gestion des déchets
Sur nos voyages, bouteilles en plastique et couverts jetables sont bannis. Au sein de l'entreprise, tri des déchets, produits d'entretien écologiques, etc. En savoir plus…
3/ Protéger la faune
Depuis 2019, nous appliquons notre « Charte sur le respect de la vie animale » : ne pas perturber leur habitat, respecter une certaine distance, prendre soin des animaux de bât, etc. En savoir plus…
4/ Soutenir les populations locales
Nous appliquons depuis 2019 notre « Charte de l’accueil communautaire ». Nous soutenons financièrement des projets locaux de protection de l’enfance et d'aide au développement économique. En savoir plus…
5/ Favoriser l'accessibilité
Un tour opérateur d'aventure qui propose des voyages adaptés aux Personnes à Mobilité Réduite (hébergements, véhicules, étapes…) ? Mais oui, l'aventure ce n'est pas que le trek ! En savoir plus…
Et vous que pouvez-vous faire ?
Pour commencer, prendre connaissance et appliquer les 15 commandements du voyageur responsable avant, pendant et après le voyage.
Chacun de nous peut contribuer à être un voyageur responsable, attentif au monde et à ses habitants, en suivant quelques conseils avant, pendant et après le voyage.
- Avant le voyage
1- Choisissez des professionnels engagés dans le tourisme responsable
2- Vous informer, apprendre quelques mots dans la langue du pays…
3- N’emportez que l’essentiel et ramenez des souvenirs fabriqués localement
4- Gardez l’esprit critique
- Pendant le voyage
5- Adoptez les us et coutumes locaux
6- Avant de photographier une personne, prenez le temps de lui demander
7- Comme chez vous, triez les déchets et économisez les ressources
8- Préservez les sites visités
9- Préférez le don aux associations plutôt que la mendicité
10- Dénoncez l’exploitation sexuelle des enfants
- Après le voyage
11- Honorez vos engagements
12- Signalez les situations graves et intolérables remarquées
13- Compensez les émissions liées à votre voyage
14- Soutenez des initiatives locales
15- Partagez votre expérience
Ils y sont allés, ils nous en parlent
Rien de tel que les avis de nos clients pour vous éclairer dans votre choix… et nous aider à améliorer nos voyages !
Randonnées (ou autres activités sportives) de 1 à 4h par jour en moyenne, pas forcément tous les jours, avec ou sans dénivelés (max. 300 m). Voyage accessible à toute personne habituée à la marche décontractée.