Chers lecteurs, chers voyageurs, chers nomades,

La semaine dernière, je vous livrais quelques brèves réflexions personnelles sur les possibles (mais pas certaines) « répercussions positives sur l’avenir du voyage, favorisant le développement d’un tourisme plus responsable » de la crise actuelle. Dans le même esprit, je ne saurais trop vous recommander la lecture de la tribune publiée par Alain Capestan, Président de Nomade Aventure : bien au-delà de l’indispensable (r)évolution du secteur du tourisme et du métier de voyagiste, induite par l’introduction d’une « contribution carbone et environnement » massive qu’il appelle de ses vœux, c’est toute l’économie qu’il propose de réformer en profondeur pour faire face aux défis de notre temps. Dénonçant les rentabilités, finalement factices, d’activités n’intégrant « aucun coût écologique, aucun inconvénient pour la planète, aucun coût social futur, aucun coût caché induit par l’activité et reporté dans le futur », il propose de « refonder les règles du jeu, et en l’espèce, la notion de valeur » et donc d’« intégrer les coûts écologiques à la valeur des biens et services produits », ce qui ne peut passer que par la fiscalité, c'est-à-dire « une taxe universelle et proportionnelle à l’empreinte ». Mais une fiscalité utilisée à 100% pour, d’une part « favoriser les investissements spécialisés dans la transition énergétique, la réduction et le recyclage des déchets et l’agriculture écologique », d’autre part « aider les populations les moins favorisées, dont le pouvoir d’achat risque d’être grevé par ces dispositifs ». Bref, une passionnante contribution aux débats actuels, à lire ICI.

En attendant, on va pouvoir - au moins - voyager en France cet été. Et en profiter pour (re)découvrir le plus beau pays du monde (ça fait du bien, un peu de chauvinisme, parfois - même si c’est à consommer avec modération). En petit groupe (avec des mesures sanitaires adaptées) ou en sur mesure, en mode rando, vélo, van, bien-être, survie, kayak, et j’en passe, ce sont déjà plus de 70 formules que nous avons concoctées, dans les plus belles régions de l’hexagone et en Corse, à découvrir d’urgence en cliquant ICI ou sur le bandeau ci-dessous.

Fabrice Del Taglia - Chef de tribu

Dérivé du télétravail en vogue ces derniers temps, le télévoyage, concept 100% Nomade, est basé sur le même principe : voir du pays… sans quitter son salon.

Aujourd'hui, en route pour la Russie aux confins de la Sibérie, pour vivre une expérience unique : la traversée à pied du lac Baïkal gelé dans sa partie la plus large, de l'île d'Olkhon jusqu'au golfe de Bargouzine. Action !

Aujourd'hui, cap sur la Namibie pour 22 jours de folie à la découverte de tous les sites incontournables (Brandberg, Spitzkoppe, Waterberg, Sesriem, Sossuvlei, Zebra Naukluft) ainsi que des plus beaux treks dans le Damaraland, le désert du Namib et le Kaokoland avec les Himbas. Une sacrée aventure !

Plus que jamais, on a besoin de s’évader, de se détendre et de rire, de rêver, de voyager… C’est pourquoi, en bons chasseurs de pépites, nous sommes allés fouiller dans notre cabinet de curiosités. Et nous avons fait de belles trouvailles… lire la suite

Les rêves, humeurs, délires et souvenirs de voyage des membres de la tribu Nomade, confinés chez eux et en mal d'aventure. Du 100% fait maison.

Cette semaine, on part en safari, traquer éléphants, rhinos, girafes et Stabilos^© avec Vincent, qui a visiblement besoin de voir du pays… Courage Vinz !

Vous avez dit sauvage ?

Véritable paradis des animaux sauvages, la Tanzanie en dénombre pas moins de 4 millions (répartis en 430 espèces et sous-espèces) et affiche la plus grande concentration animale au monde par kilomètre carré. Quant à ses 17 parcs nationaux, ils couvrent plus de 30% de la superficie du pays. Sauvage, on vous dit !

La Tanzanie est née le 26 avril 1964 de la fusion du Tanganyika et de Zanzibar (qui avaient respectivement accédé à l'indépendance en 1961 et 1963). Ce sont les premières lettres de chacun de ces noms qui ont été utilisés, suivies du suffixe -ia, classique pour les noms de pays anglais.

Le Tanganyika est aussi le nom d'un lac. Et pas des moindres : s'il n'est que le 2^e par sa profondeur (après le lac Baïkal), et le 3^e par son volume (après la mer Caspienne et - toujours - le lac Baïkal), il est surtout le plus long lac d’eau douce au monde, soit… 677 km. On se fait quelques longueurs avant l'apéro ?