Chers lecteurs, chers voyageurs, chers nomades,

Depuis 50 ans, on commémore chaque année, le 22 avril (oui c’est aujourd’hui : je sais qu’avec ce confinement on a tendance à perdre la notion des dates et des jours…), le Jour de la terre, "célébré pour la première fois le 22 avril 1970 sous l’impulsion du sénateur du Wisconsin Gaylord Nelson qui encouragea les étudiants à sensibiliser à l’environnement dans leurs communautés" (merci Wikipédia). L’édition 1990 reste d’ailleurs encore à ce jour la plus grande manifestation en France dédiée à l’environnement. Quant à celle de 2020, elle… n’aura pas lieu, en tout cas pas physiquement, pour les raisons qu’on imagine. Quelle année aurait pourtant davantage mérité qu’on se mobilise pour cette cause, l’une des plus vitales de toutes (certains diraient la plus importante, car celle qui conditionne toutes les autres) ? Une année, justement, où la plus grave crise globale - sanitaire, sociale et économique - qu’ait connu le monde depuis 1945 a pour origine probable la destruction des forêts primaires et l’exploitation sans vergogne de la nature. Une crise dont "l’industrie du tourisme" (quelle affreuse expression, presque un oxymore) paie le prix fort, elle qui a pourtant sa part de responsabilité, sinon dans la destruction de la nature, du moins dans le réchauffement climatique. Il y a quelques semaines à peine, j’écrivais, dans le tout neuf Manifeste de Nomade Aventure : "Nous pensons qu'un tourisme durable, équitable, responsable et engagé est possible". Aujourd’hui je dirais : ce devrait être le seul possible. En tout cas, nous, on va continuer à faire tout ce qu’on peut en ce sens.

Ou alors, il faudra chercher refuge sur une autre planète. Je plaisante bien sûr ! Mais c’est une façon d’introduire mon deuxième sujet du jour : le 2ème opus de ma série de "publicités confinées". Le défi ? Réaliser des vidéos pour Nomade dans les plus strictes conditions du confinement, avec zéro apport extérieur mais uniquement les moyens du bord (jouets de mon fils essentiellement), et dans les limites de l’appart et du jardin, tout en essayant de faire rêver de voyage, de dépaysement, et de faire sourire. Aujourd’hui cap sur… la Lune, mon dada, pour y déposer le célèbre fanion jaune bien connu des amateurs d’aventure et d’exploration. 12, 11, 10, 9… ignition sequence start… 6, 5, 4, 3, 2, 1, 0… All engines running. Liftoff !

Fabrice Del Taglia - Chef de tribu

Dérivé du télétravail en vogue ces derniers temps, le télévoyage, concept 100% Nomade, est basé sur le même principe : voir du pays… sans quitter son salon.

Aujourd'hui, on vous emmène au cœur de l'Afrique australe, de la Namibie à Victoria Falls, à la rencontre du peuple himba et la découverte de tous les spots que compte la région : désert du Namib, Damaraland, Etosha, Chobe, Okavango, chutes Victoria… Action !

Mathieu, guide spécialiste kayak chez Nomade Aventure, répond dans cette interview aux questions les plus posées par les personnes souhaitant voyager en kayak. Ce grand passionné de nature sillonne les mers d’Europe depuis plus de dix ans. Autant dire qu’il en connaît un rayon sur cette activité, plus tendance que jamais… lire la suite

Chaque élément du drapeau national a sa propre signification. Le rouge renvoie à l’époque précédant le coup d’État militaire de 1952 qui renversa le roi Farouk. Ce coup d’État, perpétré sans verser de sang, est symbolisé par la couleur blanche. Le noir représente quant à lui la fin de l’oppression des colons britanniques. Enfin, l’Aigle de Saladin tire son origine du vizir d’Égypte Saladin qui a unifié le monde arabe au XII^e siècle.

Tombeau présumé du pharaon Khéops, la pyramide éponyme fut édifiée il y a plus de 4 500 ans, sous la IV^e dynastie. Elle est la plus grande des pyramides de Gizeh, la plus ancienne des 7 merveilles du monde et pourtant… la seule encore debout. Indestructible !

On ne croit pas qu’il y avait de bonne ou de mauvaise situation. Si on devait résumer leur vie aujourd’hui avec vous, on dirait que c’était d’abord des rencontres… toutefois, le scribe maîtrisait trois types d’écriture et avait différentes fonctions selon son grade. L’une d’elles était de rédiger les contrats pour les citoyens (qui étaient analphabètes pour la plupart). C’était, à l'époque, celui qui possèdait le savoir et que tout le monde respectait. Les scribes supérieurs ne payaient même pas d’impôts.